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#108 : Ne dis jamais j'arrête

Après s'être fait voler le camion Rasta Monsta et tous les T-shirts qui étaient à l'intérieur, Cam est devenu l'esclave de Rene mais tente le tout pour le tout pour retrouver le véhicule volé.

De son côté, Rachel connait enfin la réponse aux propositions de Darren et d'Edie. Quant à Ben, il règle ses affaires avec Julie et Rachel...

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Titre VO
Never Say Die

Titre VF
Ne dis jamais j'arrête

Première diffusion
04.04.2010

Première diffusion en France
28.09.2010

Vidéos

Extrait - Vol du van Rasta Monsta

Extrait - Vol du van Rasta Monsta

  

Extrait - Au bar Kappo, Ben et Cam

Extrait - Au bar Kappo, Ben et Cam

  

Extraits - Domingo et Ben + Bar Kappo, Ben et Cam

Extraits - Domingo et Ben + Bar Kappo, Ben et Cam

  

Photos promo

Photo de l'épisode #1.08

Photo de l'épisode #1.08

Photo de l'épisode #1.08

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Photo de l'épisode #1.08

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Audience US : 0.65 M

1x08: Never Say Die

Cam remercie sa grand-mère qui a lavé son tee-shirt. Ben a passé la nuit avec Rachel. Ils conviennent que cela devait finir par arriver mais sont gênés en se disant au revoir. 

Cam appelle Ben pour lui dire de le retrouver au poste de police. Ils veulent savoir si l'enquête avance mais elle est au point mort. Ils doivent appeler Haraki pour lui dire qu'ils n'ont pas les tee-shirt. Ben propose à Cam d'aller manger mais il est occupé maintenant qu'il est l'esclave de René.

Rachel appelle Edie. Elle lui demande de la retrouver une heure plus tard à l'hôtel. René en fait baver à Cam. Profitant d'une pause, Cam appelle Haraki et ne peut se résoudre à lui dire qu'il n'a pas les tee-shirt. Il lui assure qu'ils seront livrés le jour même.

Ben est avec Domingo qui essaye de lui remonter le moral. L'assistant d'Haraki appelle Ben qui n'en revient pas de ce que Cam a fait. Il donne donc un coup de fil à son ami mais Cam ne peut décrocher. Cam interroge Jabar, un collègue de René à propos du camion mais est interrompu par René lui-même. Cam rappelle Ben. Il pense que c'est René qui a volé le camion pour toucher l'assurance. Il veut aller parler à René

Rachel retrouve Edie et Darren à l'hôtel. Elle leur apprend qu'elle quitte la ville et démissionne. Elle avoue à Darren qu'elle a couché avec Ben la veille. Il ne sait pas comment réagir. 

René est à l'église. Le père le remercie pour son aide et le rassure.

Ben annonce à Julie qu'il ne peut plus l'accompagner mais elle ne lui en veut pas et se montre plutôt compréhensive. 

Ben et Cam parlent à René des tee-shirt. Mais René ne veut rien entendre et les congédie. Cam s'énerve mais rien n'y fait. Les deux amis noient leur désespoir dans l'alcool avec David. Ben rentre chez lui quand il voit Wilfredo qui ne le reconnaît pas tout de suite. Il est un peu ailleurs.

René réveille Cam et lui dit de le rejoindre dehors dans deux minutes. Il l'amène au camion et lui avoue que lui aussi a des dettes et qu'il a besoin de l'argent de l'assurance. Il lui rend ses tee-shirt et lui souhaite le meilleur pour son affaire. Enfin, il lui demande de faire quelque chose pour lui. Cam brûle le camion. 

Ben et Rachel se sont retrouvés dans un bar. Rachel lui parle de ses projets, elle va partir un moment même si elle ne sait pas vraiment où. Ils parlent brièvement de Crisp puis de leur nuit passée ensemble. C'était bizarre pour eux deux. Ben la serre dans ses bras et lui demande de lui envoyer une carte postale. Il lui dit de prendre soin d'elle.

Ben et Cam livrent enfin les tee-shirt et sont payés. Ils se demandent quoi faire avec l'argent. Ben veut en priorité payer son loyer, Cam lui propose de créer un sweat. L'avenir leur tend les bras.

Générique 


Grand-mère : Je l'ai lavé. Au cas où tu devrais le mettre aujourd'hui.
Cam : Merci, mamie.

Ben : Tu pars en douce ?
Rachel : Quoi ? Mon Dieu, non. Désolée, si je t'ai réveillé.
Ben : Pas de souci. Désolé mais ma machine à café est raide.
Rachel : Vraiment ? Ta vielle Joe Dimaggio ? Désolée pour toi. Tu l'aimais bien.
Ben : Ouais, jusqu'à ce qu'elle m'arrachepresque le doigt.
Rachel : Ça craint.
Ben : Ça devait arriver.
Rachel : Ouais.

Rachel : Alors... C'était sympa de te revoir.
Ben : Moi de même.

Cam : Comment va ?
Ben : J'ai connu meilleur et toi ?
Cam : Bien. Faut qu'on parle aux flics pour le camion. Retrouve-moi au poste, d'acc ? Et grouille-toi, j'ai pas que ça à foutre aujourd'hui.
Ben : Qui êtes-vous ? Où est mon pote Cam ?
Cam : Ton pote est maintenant l'esclave de son cousin Rene, tu vois ce que je veux dire.

Policier : C'est quoi ça, Rasta Monsta ?
Cam : C'est un energy drink.
Policier : Connais pas.
Cam : D'où le camion.
Policier : Juste. Il est dit ici, qu'il est assuré comme "œuvre d'art".
Cam : Ah ouais ?
Policier : Apparemment il est recouvert d'un "squelette avec dreadlocks tiré par une meute de pit-bulls enragés". Charmant.
Ben : Donc personne dans les bars alentour n'a rien vu ?
Policier : Non. Ils ne savent rien.

Cam : Ces flics devraient se bouger le cul. C'est mes impôts qui les font vivre. Quoi ? Tes impôts. Mais quand même...
Ben : L'un de nous doit appeler Haraki pour dire qu'on n'a pas les t-shirts.
Cam : On a encore jusqu'à ce soir.
Ben : Peu importe, on ne pourra pas livrer aujourd'hui.
Cam : Ouais, la meilleure chose à faire est d'annuler et garder une relation constructive pour l'avenir.
Ben : Ouais, ça vaut mieux pour Crisp que de foirer à la dernière minute.
Cam : J'appellerai Haraki. Ça marche. Je te paye le p'tit déj.
Ben : Je peux pas.
Cam : Quoi ?
Ben : Je dois aller bosser.

Edie : Salut, ma toute belle.
Rachel : Salut, Edie.
Edie : C'est un appel de joie ou de tristesse ?
Rachel : Est-ce que tu peux me retrouver à l'hôtel ?
Edie : Oui, sûr.
Rachel : Alors, on dit dans une heure ?
Edie : T'auras le droit à ton bonus, ma chérie.
Rachel : Bye, Edie.

Rene : Combien pour un panneau d'affichage à Houston ? Tu te fous de moi ? C'est un putain de paquet de fric. Merde, pour 200 $ et un peu d'herbe, je peux engager la trainée qui squatte mon immeuble et lui faire décorer le panneau qui surplombe la Calvin Klein Av. Tu crois que ça donnerait une image trop ghetto ? Putain. Ouais, t'as sûrement raison. Tu peux patienter une seconde ? C'est quoi cette merde ? J'ai dit des œufs blancs, pas jaunes. T'es daltonien ou quoi ?
Cam : C'est de l'œuf industriel. La meuf a dit que c'était la même chose.
Rene : Ce n'est pas la même chose. T'as intérêt à suivre mes directives si tu veux pas finir en Cam industriel. Je suis désolé. Mon petit cousin vient de commencer à bosser pour moi. Il est un peu attardé.

Cam : Comment va, mec ? C'est Cam Calderon de Crisp.
Haraki : Je croyais que vous vouliez livrer hier soir. Que s'est-il passé ?
Cam : On a eu un petit souci de livraison.
Haraki : J'espère que le problème est réglé. J'aurai mes t-shirts aujourd'hui ?
Cam : Bien sûr. Oui, vous les aurez ce soir.
Haraki : Si vos t-shirts se vendent bien je compléterai ma commande avec quelques pulls à capuche.
Cam : Pas de problème. On a déjà fait ça. Donc c'est parfait. Faudra juste me dire la quantité.
Haraki : Bien. Mon assistant vous dira où faire la livraison.
Cam : Merci, Haraki.

Domingo : Qui volerait un camion comme celui-là ? C'est vraiment la merde.
Ben : Je crois qu'on est maudit.
Domingo : Oublie. Vous n'êtes pas maudits.
Ben : On n'a pas de veine.
Domingo : Tu connais l'histoire d'oncle Julius ?
Ben : Non, je crois pas.
Domingo : C'était le mec le plus cool de Cleveland. Tout le monde l'aimait. Il avait neuf gamins et il conduisait le bus. Il n'était jamais malheureux.
Ben : Et alors ?
Domingo : Il a gagné 2 millions au Loto et il a fait une grave dépression. Tu vois ? Il a tout dépensé en une année et là, il conduit de nouveau le bus, plus heureux que jamais.
Ben : Je ne suis plus là.
Domingo : Donc je vais te dire, les choses vont et viennent. Pareil avec l'argent ou les t-shirts. Souvent, on est plus fort que ce qu'on croit. Tu vois ? Tu dois encaisser et réagir. Tu vois, esquiver et frapper.
Ben : Putain. C'est profond ce que tu dis là.
Domingo : Tu sais, je joue au philosophe de temps en temps. Dropping Gems, tu connais ?
Ben : J'adore.
Domingo : C'est qui ?
Ben : Attends. Allô.
Domingo : Qu'est-ce que tu fais ? Assis.
Ben : Ouais, l'assistant d'Haraki. Ça va ? Il a dit quoi ?

Jabar : Pas d'appel personnel durant le boulot.
Cam : Jabar, je peux te poser une question ? C'est quoi le truc avec le camion ?
Jabar : Comment ça ?
Cam : Avec toutes les personnes que vous connaissez, personne n'a rien vu.
Jabar : Non.
Cam : Alors pourquoi on le cherche pas ? On pourrait le trouver nous-mêmes.
Jabar : T'es taré.
Cam : Allez, Jabar. Je sais qu'un mec comme toi en un coup de fil pour le faire apparaître comme ça.
Jabar : Je pourrais. Mais on s'en fout parce que on peut pas faire le constat de dommages avant lundi.
Cam : Constat de dommages ? Pourquoi tu parles de dommages ? Tu voulais pas dire constat de vol ?
Rene : Perte, vol ou dommage. Qu'est-ce que ça te fout ?
Cam : Ça me concerne.
Rene : "Ça me concerne " n'est pas une réponse.
Cam : Hier quand on est parti d'Union Square, pour chercher les 300 t-shirts en dehors de Brooklyn, les t-shirts étaient dans le camion quand il a été volé.
Rene : Tes t-shirts étaient dans le camion ?
Cam : Ils doivent être dans un avion pour Tokyo demain.
Rene : C'est triste.
Cam : Oui, je sais.
Rene : Viens, Jabar. J'ai besoin de quelqu'un qui voit au-dessus du volant. Tu restes et continues de bosser.
Rene : Prends ma voiture.

Ben : Pourquoi les gars d'Haraki m'appellent pour le dépôt ce soir ?T'as pas annulé ?
Cam : Peut-être pas.
Ben : Tu es fou, pourquoi ?
Cam : Je sais pas, mais ce merdier n'est pas fini. Quand j'ai parlé à Haraki c'était fini, mais maintenant non.
Ben : De quoi tu parles ?
Cam : Je crois que Rene a volé le camion Rasta Monsta.
Ben : Quoi ?
Cam : Jabar parlait d'un constat pour un camion encore disparu. Rene est arrivé et il a arrêté. Ça m'a grave foutu le doute.
Ben : Même si c'est vrai qu'est-ce qu'on peut faire ?
Cam : Allez voir Rene.
Ben : Sans preuve ?
Cam : Je le sens au fond de moi. D'accord ?
Ben : D'accord. Tu es où ?

Edie : J'adorerais.
Darren : C'est vraiment sympa. 10 minutes de retard. Pas sympa de faire attendre le patron. Tu n'as pas appris ça à Brown. Je blague. Je t'ai appelé hier soir. 
Edie : Darren et moi avions une discussion très intéressante, sur le budget de ce lieu. Ça pourrait impliquer des voyages dans certains endroits très exotiques.
Rachel : Ça donne envie. Ça donne envie... Mais je pars.
Darren : Partir où ?
Rachel : D'ici.
Edie : De quoi tu parles ?
Rachel : Je ne vais pas faire l'hôtel. Je ne fais pas. Darren, merci pour l'offre, vraiment, mais je n'aime pas avoir de nouveaux contrats comme ça. Ceci dit, tu devrais embaucher Edie. Elle sera un vrai atout pour toi.
Edie : Mais, Rachel, tu travailles pour moi, donc si je le fais, toi aussi.
Rachel : Je ne travaille plus pour toi parce que je quitte Edie Weitz designs.
Darren : Calme-toi, s'il te plaît.
Rachel : Je vais bien.
Edie : Tu perds tout.
Rachel : Peut-être. Ou peut-être que pour la première fois depuis très longtemps, je gagne tout.
Darren : Attends. Ça veut dire quoi pour nous ?
Rachel : Je ne sais pas s'il y a encore un nous. Je rentre pas dans tout ton... "Non n'est pas une réponse."
Darren : Je peux y travailler.
Rachel : Ben et moi avons couché ensemble hier.
Darren : Quoi ?
Rachel : Il y a ça. Bonne discussion.

Homme 1 : C'est comment ?
Homme 2 : Monte. 
Rene : Essaye plus haut.
Homme 2 : Monte de ton côté.
Homme 1 : J'essaye le plus haut possible.
Rene : Rene : Connerie. Étire-toi ! Comment allez-vous ?
Pasteur : Je ne peux pas assez te remercier. C'est une vraie contribution charitable.
Rene : C'est normal, mon Père. C'est le moins que je puisse faire.
Pasteur : Ça va ?
Rene : Oui, bien sûr, pourquoi ?
Pasteur : Tu as l'air embêté.
Rene : Il y a-t-il un endroit où l'on pourrait parler vite faite ?
Pasteur : Tu veux aller dans la chapelle ?
Rene : Enfin un endroit pas si proche de Dieu.
Pasteur : Dieu est partout.
Rene : Oui, je sais, mais là il me fout la trouille.
Pasteur : Viens, on va dehors.
Rene : Merci.

Rene : Le stress d'avoir son entreprise n'est pas une blague, mon Père.
Pasteur : Tu es assez fort pour le faire.
Rene : Je sais mais j'ai encore mes pulsions.
Pasteur : Les pulsions sont normales, pour tout le monde.
Rene : Les miennes sont criminelles, même violentes parfois.
Pasteur : Un homme intelligent m'a dit, et j'espère que ça va marcher pour toi.
Rene : S'il vous plaît.
Pasteur : Qu'importe que tu aies un démon, ou une pulsion impure, ferme tes yeux, respire profondément, et imagine-toi en train de descendre dans la fondation de ton âme où la part colérique de toi vit. Et tu la confrontes. Tu fixes le méchant droit dans les yeux et tu... souris.
Rene : Ça marche pour toi ?
Pasteur : Ouais, Et ça peut marcher pour toi.
Rene : Je ne sais pas. Je vais voir ce que peux faire avec lui. Je ne sais pas.

Julie : J'ai fait une playlist, et j'ai pris de quoi grignoter. Ça te dit un sandwich bacon-figues farcies avec du parmesan ?
Ben : Je sais qu'avec du bacon tout est meilleur.
Julie : Où sont tes affaires ?
Ben : J'ai besoin de te parler.
Julie : Tu ne viens pas.
Ben : Écoute. Je suis désolé. Il vient de se passer un truc.
Julie : Si tu es mal à l'aise, je comprends. Tu n'as pas à t'en faire.
Ben : Ça n'a rien à voir avec toi. J'ai vraiment tout fait pour venir, mais Cam va faire un truc dingue et si je ne suis pas avec lui, ça peut devenir ingérable.
Cam : Vous allez bien ?
Ben : T'es prête à conduire toute seule ?
Julie : Je suis déjà allée jusqu'en Floride pour voir un concert de Radiohead. Baltimore, ça ira.
Ben : Tu es sûre ?
Julie : Ça va aller. Tu me garderas quelques Rasta Monsta ?

Collegue de Rene : Patron, votre cousin et son ami sont là.
Rene : C'est samedi soir. Je pensais que vous étiez de sortie quelque part.
Ben : Comment ça va, Rene ?
Cam : Il se passe quoi ?
Rene : Aucune idée. Dites-moi.
Ben : On pense que tu es peut-être tombé accidentellement sur nos t-shirts.
Rene : Comment j'aurais pu tomber dessus ?
Ben : Je sais pas. Franchement, je veux pas savoir, on en a besoin ce soir car ils sont censés partir demain.
Rene : Je sais pas de quoi tu parles. Et franchement, je suis un peu offensé de l'accusation.
Ben : C'est l'inverse de ce qu'on est venu faire ici. On ne veut pas offenser toi ou tes gars. On veut juste nos t-shirts et tu nous reverras plus jamais.
Rene : Les gars, vous savez ce que vous me dites là ? Que je suis un récidiviste, qui vient de commettre peut-être son 3e coup. Tu crois que je veux retourner en prison ? Tu crois que j'ai que ça à faire ?
Ben : Je ne suis pas une balance. Cam n'est pas une balance. Si on vient t'en parler, c'est que ces t-shirts sont importants pour nous. On veut les reprendre. Que t'aies volé ou non ce camion, ce n'est pas nos affaires. Mais les t-shirts à l'intérieur, si.
Rene : Vous avez fini ?
Cam : Redonne-nous nos putains de t-shirts ! On sait que tu as piqué ce camion ! Voleur de merde.
Rene : Qu'est ce que tu viens de dire ?
Cam : Tu m'as entendu !
Rene : Je vais vous faire une faveur ce soir parce que je sais ce que ces t-shirts représentent pour vous. Mais après ce soir, je ne veux plus jamais entendre parler de vos t-shirts ou de mon camion. Compris ?
Cam : Ouais, compris. Mais tu dois comprendre, cousin, ces t-shirts, on a que ça.
Rene : Dégagez de mon bureau avant que je change d'avis et vous cogne pour le temps perdu.

David : Vous me faites déprimer. Sérieusement. J'ai doublé ma dose de Prozac pour l'occasion.
Ben : T'en as encore sur toi ?
David : Vous allez vous en sortir. Tous les deux.
Cam : Vraiment ? On a foiré notre affaire avec Haraki. Il avait bien kiffé nos t-shirts. Il y a aussi ton placement, David, qu'on a perdu.
David : En 2008, j'ai perdu 685 millions de dollars. J'étais couvert de dettes de la tête aux pieds.
Ben : Merde.
David : Mais c'est bon, parce que je reviens petit par petit, million par million. Le secret n'est pas de s'enrichir vite. Le secret est de s'enrichir progressivement et d'apprécier.
Cam : On ne peut pas s'enrichir moins vite que nous.
David : Les gars, vous devez y croire. J'y crois. Crisp se relève toujours. On l'a toujours fait. Pas vrai ?
Cam : "On" ?
David : Oui, "on". Allez, tchin-tchin. Crispy-Crisp. Garçon, 3 verres... Tres generaciones, por favor.
Ben : Un dernier verre, et je rentre.

Ben : Salut, mec. Quoi de neuf ? Ouais, mec. Qu'est-ce qui t'est arrivé ? Je t'ai appelé. Je suis venu chez toi.
Wilfredo : Tu n'es pas venu.
Ben : Wilfredo, je suis venu plusieurs fois. Tu m'as vu et tu t'es planqué.
Wilfredo : Khalid et ses potes étaient là ? Ces gars ont vraiment essayé de me tuer.
Ben : Je ne sais pas qui est Khalid.
Wilfredo : Peu importe, Donald.
Ben : Ton pote, Ben Epstein.
Wilfredo : Merde. Quoi de neuf, Ben ?
Ben : Quoi de neuf ? Non, je te cherchais juste. Je voulais te parler des planches. Écoute. Je suis désolé de t'avoir laissé tomber.
Wilfredo : Quelles planches ?
Ben : Les tiennes. Les planches Wilfredo Gomez.
Wilfredo : Merde.
Ben : Oui, la girafe, l'éléphant. Ce skateboard était délirant.
Ben : Tu l'aimais bien ?
Wilfredo : Je l'adorais. Il était beau. Je voulais rider avec ce skate. Je voulais vraiment. Mais tu sais ce qui est arrivé ? Je l'ai prêté à mon frère et il s'est vautré avec.
Ben : Il s'est vautré avec ?
Wilfredo : Ne crois personne, Donald. Vraiment. Même pas Mickey.

Cam : C'est quoi ce...
Rene : C'est la petite souris qui vient t'arracher les dents. On se voit dehors dans 2 minutes, d'accord ? Habille-toi.

Cam : Tu me fais un peu peur. Pourquoi on est là ? Je savais que tu l'avais pris.
Rene : Bravo Cam, petite fouine.
Cam : Pourquoi t'as fait ça ?
Rene : Parce que le camion vaut cher. Il m'a rien coûté. Et l'assurance rembourse les dommages sur l'art plus vite que le vol, donc...
Cam : Je comprends pas. Je croyais que tu aimais ce camion.
Rene : Bien sûr. Mais comme toi, j'ai besoin d'un prêt pour commencer mon affaire. Et comme toi, je dois... beaucoup d'argent. Les t-shirts étaient dans le camion ? Oui.
Cam : Je peux les reprendre ? Je ne dirais rien. Crois-moi, je suis ton cousin.
Rene : Avec mon passé, je ne crois personne. Allez, mec. On y va. Mais je veux que tu réussisses, cousin. J'ai été surpris de ce que tu as fait de ces t-shirts. Je pense que vous avez du talent, ton mec et toi. C'est dommage que vous ne fassiez pas de 3XL. Ces gars ont adoré. Je veux que ces t-shirts soient le départ d'un succès légitime pour toi.
Cam : Ah oui ?
Rene : Oui, mais avant toutes choses, je veux que tu fasses un truc. C'est le jeu, papy. Je plonge, tu plonges.

Ben : Tu vas voyager ?
Rachel : Oui, jusqu'à être ruinée.
Ben : Où ça ?
Rachel : Je sais pas. Je vais mettre une carte sur mon mur et jeter une fléchette, pour voir où j'atterris. Je vais viser Paris.
Ben : Logique. Ça, tu ne vas pas le louper.
Rachel : C'est juste. Et toi ? Comment va Crisp ?
Ben : Crisp va bien.
Rachel : Vraiment ?
Ben : Oui. Ça va très bien.
Rachel : Je peux te poser une question ?
Ben : Vas-y.
Rachel : Comment c'était la nuit dernière ?
Ben : Quoi ?
Rachel : Oublie. Désolé.
Ben : La nuit dernière était...
Rachel : C'était...
Ben : Un peu bizarre.
Rachel : Plus qu'un peu.
Ben : C'était pas toujours comme ça.
Rachel : Non ? Je m'excuse si tu as cru que j'en attendais trop.
Ben : C'était pas le cas.

Ben : Bien. Qu'importe où tu iras, fais gaffe, et envoie-moi une carte.
Rachel : D'accord.
Ben : Viens-là. Prends soin de toi.

Cam : Vous faites ça depuis quand ?
Homme : Longtemps. Haraki n'aime pas payer les taxes internationales ou la livraison.
Cam : Je ne lui en veux pas.
Homme : C'est plus facile. Plus vite en magasin, plus vite chez les clients. 
Femme : Le problème c'est la douane, alors...
Ben : Je ne dirais rien. Promis.
Homme : C'était un plaisir de bosser avec vous.
Ben : Merci.
Cam : Prends-le.
Ben : T'es d'accord ?
Cam : Vas-y.
Ben : Tout le plaisir était pour nous.
Homme : Merci.
Cam : Dites à Haraki que parmi les gens avec qui on a travaillé, c'est notre préféré.
Homme : Merci.

Cam : Tu vas faire quoi avec ta part ?
Ben : Payer mon loyer et après, je sais pas. Je pensais créer un nouveau jean.
Cam : Ouais. On devrait faire ça. Mais je pensais... On devrait faire un sweat Crisp, et l'emmener nous-mêmes à Tokyo. Je suis sérieux. C'est le moment. On doit rencontrer nos clients. Faire de la pub, étudier le marché, l'étendre. Faire du buzz au Japon. Ça peut marcher.
Ben : T'as un passeport, Cam ?
Cam : Quoi ? Pas encore, mais je vais le faire. Je connais un type qui vend des miles pas chers. 
Ben : C'est dingue, non ?

Cam : C'est dingue.


Générique de fin

Generique

Grand-mère: I washed it... In case you have to wear it today.
Cam: Thank you, grandma.
Grand-mère: Si.

Ben: Are you sneaking out?
Rachel: What?  Oh, god.  No. Sorry if I woke you.
Ben: It's fine. I'd offer you some coffee, but the pot broke.
Rachel: Oh, really?  The vintage joe dimaggio mr. Coffee?
Ben: Mm-hmm.
Rachel: Oh. I'm Sorry. You loved that thing.
Ben: Yeah, I did until it shattered And almost took a finge
Rachel: That sucks.
Ben: Yeah. Shit happens.
Rachel: Yeah. It does. So, um... ...It was good seeing you. 
Ben: Yup. It was good to see you too.
Rachel: Okay.
Ben: Bye.

Ben: hey. 
Cam: How you feeling today?
Ben: Been better.  You?
Cam: All good. We need to talk to the cops and see what they got on the truck, So meet me at the police station,all right? And hurry up, 'cause I don't got time to fuck around today.
Ben: Whoa whoa.  Who is this? What have you done with my friend cam?
Cam: Your friend cam is now a slave to his cousin rene, So you know what that means.

Cop: What the hell is a rasta monsta, anyway?
Ben: It's an energy drink.
Cop: Never heard of it.
Cam: That was the point of the truck. 
Cop: Right. It says here it's been insured as " a work of art."  It was apparently it had a mural Of "a skeleton with dreadlocks Getting pulled by a team of angry pit bulls."  lovely.
Ben: So nobody you interviewed outside of the diner saw anything?
Cop: Nope.  They never do.
Cam: These cops need to step it up. My tax dollars pay for their salary.
Ben: What? 
Cam:  Your tax dollars. But still...
Ben: Well, one of us needs to call haraki And tell him we're not delivering the t-shirts today.
Cam: Ben, the day still isn't over.
Ben: Either way, it's not gonna happen today. No way.
Cam: Yeah, I guess the right thing to do is cancel And keep the relationship good and open for the future, right?
Ben: Yeah. I mean, that's a better look for crisp Than just flaking completely, you know?
Cam: I'll call haraki and I'll tell him.
Ben: All right. Well, let me buy you breakfast first.
Cam: I can'
Ben: what?
Cam: I've gotta work.

 Edie: Good morning, gorgeous.
Edie: Good morning, edie. Is this a happy call or a sad call?
Rachel: Are you available to meet me at the hotel?
Edie: Yes, I am.
Rachel: Okay. So see you there in an hour?
Edie: There's a bonus in this for you, sweetie.
Rachel: Bye, edie.

Rene: How much for a billboard on houston? Are you fucking kidding me, man? That's a lot of fucking money, bro. Shit, for $200 and a bag of weed, I can hire this hood rat that lives in my building Who'll climb up and paint a nice mural, man, Right on top of the calvin klein ad. You think that'd make the company look too ghetto? Oh, fuck. Yeah, you're probably right. Will you please hold on a second? What the fuck is this, bro? I said egg whites, not egg yellows. Are you fucking color-blind?
Cam: They're egg beaters. They lady said egg beaters are the same thing as egg whites.
Rene: It's not the same thing. Look.  Can you learn to follow directions Before I turn into a cam beater?
Cam: Mm-hmm.
Rene: I'm-- I'm so sorry. Yeah, my little cousin-he just started working for me. He's half retarded.

Haraki: hello. 
Cam: Hey, how you doing, man? It's cam calderon from crisp.
Haraki: I thought you were coming to deliver last night. What happened to you?
Cam: Well, we had a little problem With the shipping on our end.
Haraki: Oh, I hope the problem is cleared up. Are you bringing me my shirts today?
Cam: Of course we are.  Yeah. Yeah, you'll have them by tonight.
Haraki: If your shirts sell like I think they can, I want to backup the order with some hooded sweatshirts.
Cam: We can do that. We're already working on some hoodies, so that's perfect. Just let me know how many.
Haraki: Good. My assistant will call you soon to tell you where to drop off.
Cam: Thank you, haraki.

Domoingo: Who steals a delivery truck like that? That's some serious crackhead shit.
Ben: I think Cam and I are cursed.
Domingo: Oh, shut up. You're not cursed. Stop. 
Ben: Well, we're not blessed.
Domingo: Dude, did I ever tell you the story about my uncle julius?
Ben: No, I don't think you did. 
Domingo: Oh, he was the coolest dude back in cleveland. Everybody loved him. He's got nine kids And he drove the bus. The dude was never not happy.
Ben: What happened to him?
Domigo: He won $2 million in the lottery. And then got severely depressed. All right? Lost it all within the year And now he's back to driving the bus, happy as hell.
Ben: You lost me, man. 
Domingo: All right, dude. Let me just telyou, Things come and go. Money comes and goes. T-shirts come and go. Sometimes there's greater forces at work that we're aware of. You know what I mean? You've just got to roll with those fucking punches. You know, bob and weave.
Ben: Damn ! You just got really deep on me there.
Domingo: You know, I get my philosophize on every once in a while, Dropping gems.  You know?
Ben: I love it.  I love it.
Domingo: Who is this?  Hold on.
Ben: hello. Yeah, this is ben.
Domingo: What are you doing, huh?  Sit.
Ben: Oh yeah, haraki's guy. What's up, man? He told you what?

Jabar: Yo, no personal calls during work.
Cam: Jabar, let me ask you a question. What's up with the truck?
Jabar: What do you mean?
Cam: I mean with all the people y'all know on the streets, No one's seen nothing.
Jabar: Nope.
Cam: Then why are we not looking for it? We could find that shit ourselves.
Jabar: You're crazy.
Cam: Come on, jabar. I know a dude like you can make one phone call And make that shit appear like that.
Jabar: I probably could, but it wouldn't matter anyway, 'cause we can't put the damage claim in before Monday.
Cam: Damage claim? What you talking about, damage claim? Don't you mean stolen claim? 
Rene: Lost, stolen or damaged, man. What do you care?
Cam: 'cause I care.
Rene: "'cause I care" is not an answer.
Cam: 'cause yesterday when we left union square We went to go pick up 300 t-shirts From this silkscreener out in brooklyn And the t-shirts were in the truck when it was stolen.
Rene: Your shirts were in the truck?
Cam: Yeah.  They're supposed to be on a plane to tokyo tomorrow.
Rene: This is sad.
Cam: Yeah, I know.
Rene: Come on, jabar. I need a ride from somebody Who can see over the steering wheel. You stay and go back to work. Come on. Grab my car.

Cam: Ben. 
Ben: Why the fuck do I have haraki's people Calling me about a drop-off tonight? Did you not cancel?
Cam: I might not have
Ben: are you crazy?  Why?
Cam: I have no idea, but this shit ain't over. When I talked to haraki it was over, But now it's definitely not over.
Ben: Whoa whoa, cam. What are you talking about?
Cam: I think rene stole the rasta monsta truck.
Ben: What? 
Cam:  Jabar was talking about filing a claim For a truck that's still missing, then Rene walked in And bailed him out. he whole shit felt mad suspicious.
Ben: Okay, look. Even if it's true, what could we possibly do about it?
Cam: go s rene.
Ben: With no proof?
Cam: I know it in my bones, man. All right?
Ben: All right. Where are you?

Edie: I'd love it.  Oh! That's really good. Hi.
Darren: 10 minutes late. It's not nice to keep the boss waiting. I thought they'd teach you something like that at brown.
Rachel: Yeah. 
Darren: I'm kidding. I tried calling you last night.
Edie: Darren and I were just having a very titillating conversation About the budget for this place. It might even involve some purchasing trips. To some very exotic locales.
Rachel: Wow.  Well, that sounds real nice.
Edie: Mm-hmm.
Rachel: That sounds very nice...But I'm out.
Darren: out where?
Rachel: Out of here. 
Edie: What are you talking about?
Rachel: I'm not doing this hotel. I'm not.  Darren, thanks for the offer, Really, but this is just not how I like to get new business. With that said, you should hire edie. She's gonna be an incredible asset to you.
Edie: But, rachel, you work for me, So if I'm doing it, you're doing it.
Rachel: Actually, I'm not working for you anymore, because I quit. I quit edie weitz designs.
Darren: Slow down, please.
Rachel: I'm cool.  I'm cool.
Edie: No, you're completely losing it.
Rachel: Maybe.  Maybe. Or maybe for the first time in a really long while, I'm finally getting it.
Darren: Wait.  What does this mean for us?
Rachel: I mean-- - darren, I don't know if there's an us anymore. I'm just-- I'm not into your whole I-don't-take- no-for-an-answer thing.
Darren: Okay, we can work on that.
Rachel: Ben and I slept together last night.
Darren: What?
Rachel: So there's that. Umm.
Darren: Huh.
Rachel: All right. Good talk.

Eddie: How's that?
Mike: Go up. Try more up. 
Rene: Eddie, up more on your side, please.
Eddie: I'm going as high as I can, boss.
Rene: Bullshit.  Stretch. Come on, man. Oh, hey.  How you doing ?
Pasteur: I can't thank you enough for this. It's a truly charitable contribution.
Rene: You're welcome, father. It's the least I can do.
Pasteur: are you okay ?
Rene: Yeah, of course.  Why?
Pasteur: You seem troubled.
Rene: Is there someplace we could talk in private real fast?
Pasteur: You want to go in the chapel?
Rene: I mean someplace not so close to god.
Pasteur: God is everywhere, rene.
Rene: Yeah, I know, But he's freaking me out in here right now. 

Pasteur: Come on, let's go out front. That's fair enough. 
Rene: Thank you. The stress of running a business is no joke, father.
Pasteur: You're strong enough to do this, rene.
Rene: Yeah, I know, but I still get my urges.
Pasteur: Urges. Urges are normal, for all of us.
Rene: Yeah, but mine are criminal, Even violent sometimes.
Pasteur: Rene, here's something a smart man Once shared with me that helped. Maybe it'll work for you.
Rene: I mean, please.
Pasteur: Whenever you get an evil Or impure impulse, Close your eyes, take a deep breath And then you imagine yourself taking the elevator down To the basement of your soul where that angry part of you lives. And you confront it. You look the angry rene right in the eye And you just... Smile.
Rene: That work for you?
Pasteur: Yeah, and it can work for you too.
Rene: I don't know, father. I guess I could try reasoning with him. I don't know.

Julie: I just made a five-hour playlist and packed some snacks.
Ben: Wow. 
Julie: What do you know about bacon-wrapped figs Stuffed with parmesan? 
Ben: I know that bacon makes everything taste better.
Julie: Where's all your stuff?
Ben: Yeah, I need to talk to you.
Julie: You're not coming.
Ben: Yeah, look.  I'm sorry. Something just came up.
Julie: Look, ben.  If you're uncomfortable, I get it.
Ben: No.
Julie: You don't have to make up. 
Ben: Julie, honestly, it has nothing to do with you, okay? I was really looking forward to going, but cam's about to do something crazy And if I'm not there with him, the thing could get totally out of hand.
Julie: Are you guys gonna be okay?
Ben: Yeah yeah, But are you gonna be okay iving alone?
Julie: Look, ben. I once drove from jersey to florida by myself To see a radiohead concert. Baltimore will be no sweat.
Ben: Are you sure?
Julie: I'll be fine. Got a few rasta monstas for me?

Man: Boss, your cousin and his friend showed up.
Rene: Yo, it's Saturday night. I thought you two guys would be winingand dining each other somewhere.
Cam: How you doing, rene ?
Rene: What's going on, coz ? No idea. You tell me.
Ben: Well, we think that you may have accidentall. Come across our t-shirts.
Rene: How could I accidentally come across those?
Ben: I don't know. Honestly, I don't wanna know, But we need those shirts ba tonight. Because they're supposed to ship out tomorrow.
Rene: You know, I don't know what the fuck you're talking about right now, ben. And honestly, I'm a little insulted by the implication.
Ben: That is the exact opposite of what we came here to do. We did not want to insult you or any of you guys. We just want our shirts back and we will be out of your way forever.
Rene: Boys, you know what you're saying to me right now? You're saying that I, a two-time felon, Have potentially committed my third strike for some sort of fraud. You think I want to go back to jail, man? You think I would do something dumb like that?  Come on.
Ben: Rene, I'm not a snitch. Cam's not a snitch. Obviously, those shirts are a big enough deal for us To even bother you about it. We just want 'em back. Whether or not you stole a truck or not, That is not our business. But the shirts inside that truck are.
Rene: Are you finished?
Ben: Yeah. 
Cam: Just give us back our fucking shirts ! We all know you boostedthat truck ! Fucking thief.
Men: Whoa.
Cam: Shit.
Rene: Whoa. What the fuck did you just say to me?
Cam: You heard me!
Rene: Oh. I'm gonna give you a pass tonight. Because I know what those shirts meant to you. But after tonight I never ever want to hear about your shirts Or my truck again. You got me?
Cam: Yeah, I got it. But you gotta understand, coz, Those shirts are all I got.
Rene: Why don't you two get out of my office Before I change my mind and beat you senseless for wasting my time?

David: You guys are bringing me down. Seriously. I already doubled my zoloft intake for today.
Ben: Do you have anymore on you?
David: You are gonna be fine ! Both of you.
Cam: Will we?
David: Yes. 
Cam: We blew our fucking deal with haraki. He was actually feeling our shirts.
Ben: And there's also the matter of your investment, david, Which we also lost.
David: Okay.  Well, ben, In '08 I lost $685 million. I was bundling mortgage-backed securities Like they were sardines in a can.
Ben: Damn.
David: Yeah, but it's all good, Because I'm making it back Little by little, million by million. The secret is not to get rich quick. The secret is to get rich slow. And you appreciate it.
Cam: Pfft.  We couldn't get rich any slower if we tried.
David: Guys, you need to have faith in yourselves. I do.  Crisp is always gonna bounce back. We always will. Right?
Ben: "we" will?
David: Yes, we will.
David: Come on, clinky-clink. Crispy-crisp. Barkeep, three shots-- Tres generaciones por favor. Huh ?
Ben: A last shot, then I'm going home.

Ben: Hey, wilfredo! Yo, wilfredo.
Wilfredo: Hey, man. What's up? You good?
Ben: Yeah, man. What the hell happened to you? I tried calling you. I came to your house.
Wilfredo: You never came by my house.
Ben: Wilfredo, I came by many times. You saw me and hid.
Wilfredo: Yo, s khalid and them dudes there? Them guys is really trying to kill me.
Ben: I-- I don't know how khalid is, man.
Wilfredo: Yeah, whatever, donald.
Ben: Donald? No. Ben. Your friend ben epstein.
Wilfredo: Oh, shit. What's up, ben?
Ben: Hey, man.
Wilfredo: What's up?
Ben: No, I was just looking for you. I wanted to talk to you about those decks. Look.  I'm sorry if I let you down at all.  You know?
Wilfredo: Wh-wh-- what decks ?
Ben: Your decks. The wilfredo gomez decks.
Wilfredo: Oh, shit.
Ben: Yeah, the giraffe, the elephant.
Wilfredo: Oh, that skateboard was sick.
Ben: So you liked it then?
Wilfredo: I loved it. It was beautiful. I wanted to ride that skateboard.
Ben: Yeah. 
Wilfredo: I wanted to really ride it, But you know what happened to it? I let my brother ride it and he just straight up bounced with it.
Ben: He bounced with it, huh?
Wilfredo: Yo, donald.
Ben: yeah?
Wilfredo: Don't trust nobody, donald. For real. Not even mickey.

Cam: Mmm. Mmm? Yo, what the...
Rene: shh shh shh shh. it's the tooth fairy coming to knock your teeth out. See you outside in two minutes.  Okay? Put your clothes on.

Rene: You're getting me a little nervous, coz.
Cam: What are we doing out here? I knew it. I knew you took it. 
Rene: Yay for cam, little private dick.
Cam: Why?  Why did you do it ?
Rene: 'cause that truck is an expensive piece of art. I got it cheap. And art insurance pays for damaged art faster Than it does for stolen art, so... you know.
Cam: Still, I don't get it. I thought you loved that truck.
Rene: Oh, of course I do. But like you, I also had to get a loan. To get my business started. And I owe, just like you. A lot of money.
Cam: So were the t-shirts in the truck?
Rene: They were.
Cam: Rene, can I please get them back? You know I'm not gonna say nothing. You can trust me. I'm your cousin.
Rene: With my past, I can't trust nobody. Come on, man. Let's go. But I do want you to succeed, cousin. You know, I was really impressed When I seen what you did with those shirts. It made me think you and your boyfriend have some talents. You know, too bad you don't make 'em in xxxl. These dudes love 'em. I want those t-shirts to be the start Of a successful, legitimate business for you.
Cam: You do? 
Rene: Yeah, but before that can happen, I need you to do something. It is what it is, papo. I go down, you go down.

Rachel: Yeah.
Ben: Huh. What?  You're just gonna travel ?
Rachel: Until the money runs out, yeah.
Ben: Where to ?
Rachel: I don't know. I'm gonna paste a map on my wall And just throw a dart, see where it lands. I'm gonna be aiming for paris.
Ben: oh, obvious. Well, I know that's one throw you're not gonna miss.
Rachel: That is correct.
Ben: Huh.
Rachel: What about you? How's- how's crisp?
Ben: Crisp is good.
Rachel: Really?
Ben: Yeah. It's really good.
Rachel: Yeah... So can I ask you a question? 
Ben: Please.
Rachel: How were we the other night?
Ben: What?
Rachel: Never mind. Sorry.
Ben: Uh, the other night was--
Rachel: It was--
Ben: it was a little off. You know?
Rachel: Yeah. Maybe more than a little. But it wasn't always like that... No.
Ben: ...Right?
Rachel: Hm-mmm.
Ben: No.
Rachel: Ben, I'm sorry If I made you feel like I expected too much.
Ben: You didn't.

Ben: All right. Wherever that dart lands, Just be safe And send me a postcard.
Rachel: All right.
Ben: Come here. Take care, rache.

Ben: So how long have you guys been doing this?
Man: Long time. Haraki doesn't like to pay International import tax or wait on shipping.
Cam: I don't blame him.
Man: Much easier this way. Gets to stores faster, customers too. 
Woman: Only customs has little problem, so shh.
Ben: I won't say anything. I promise.
Man: It was a pleasure doing business with you.
Cam: Thank you. Oh, you take it.
Ben: If you don't mind.
Cam: No, you got it.
Ben: I got it. The pleasure was all ours.
Man: Thank you.
Cam: Hey, you tell haraki out of all the retailers we deal with, He's our favorite.
Man: Okay, thank you.

Cam: Yo, so what are you gonna do with your half of the money?
Ben: Pay my rent first. And then I don't know.
Cam: I'm thinking we make another pair of jeans.
Ben: Oh, hell yeah. We should definitely do that.
Cam: But I was thinking...
Ben: Uh-oh.
Cam: ...We should make a crisp hoodie, Then take it to tokyo ourselves.
Ben: Yeah?
Cam: I'm serious. Our time over there is right now. We've got to be face to face with our customers-- Promote, market, politic it. Get the japanese buzz buzzing. I think this could be something big, son.
Ben: Do you even have a passport, cam?
Cam: What?  Not yet, but I'll get one. Plus I know this dude that sells airline miles for cheap. Tell me the plan ain't crazy.
Ben: It's a crazy plan.

Generique de fin

Kikavu ?

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