9 fans | Vote

#202 : Dedans ou dehors

 Professionnellement, tout va bien pour Rachel et Domingo dans leurs travails respectifs. D'ailleurs, ils en profitent pour se rapprocher. Ben et Cam rencontrent, par l'intermédiaire de Lulu, Nancy Frankenburg, une légende parmi les designers new yorkais. De son côté, Rene va faire de Wilfredo Gomez l'effigie de Rasta Monsta.

> Captures

Titre VO
In or Out

Titre VF
Dedans ou dehors

Première diffusion
09.10.2011

Première diffusion en France
21.02.2012

Photos promo

Photo de l'épisode #2.02

Photo de l'épisode #2.02

Photo de l'épisode #2.02

Photo de l'épisode #2.02

Photo de l'épisode #2.02

Photo de l'épisode #2.02

Photo de l'épisode #2.02

Photo de l'épisode #2.02

Photo de l'épisode #2.02

Photo de l'épisode #2.02

Photo de l'épisode #2.02

Photo de l'épisode #2.02

Photo de l'épisode #2.02

Plus de détails

Audience US : 0,46 M

Guest : Isaac Mizrahi (lui-même) [Célèbre styliste]

2x02: In or out !

Ben se prépare pour son rendez-vous avec Andy Sussman, le commercial qui souhaite représenter Crisp. Julie lui conseille de porter un tee-shirt Crisp pour l'occasion. Alors qu'elle cherche la carte de visite d'Andy afin de la donner à Ben, elle tombe sur une photo de Rachel. Elle lui demande alors combien de temps ils sont restés ensemble. Ben élude rapidement la question et s'apprête à partir. Il lui dit de laisser les clés sous le paillasson en partant. Elle lui demande implicitement s'il lui offre le double de ses clés et il lui répond qu'il les lui donne si elle le désire. De son côté, Julie souhaite seulement qu'il sache ce qu'il veut.

Ben se rend donc au bureau d'Andy. Il est accompagné de Cam. Ils déchantent vite lorsque Andy leur confie qu'il n'a pas tellement de relations pour faire connaître Crisp. Il leur demande tout de même de lui laisser sa chance. Il souhaite vraiment représenter la marque. Cam finit par accepter, de même que Ben qui n'a plus vraiment le choix.

Rachel est en train de passer un entretien d'embauche. Celle qui la reçoit est assez superficielle et assez destabilisante. Rachel ne sait pas trop comment se comporter avec elle mais contre toute attente, elle finit par l'impressionner. Pendant ce temps, Rene et ses acolytes s'en prennent à Kevin, un ancien client de Rene, qui lui doit toujours de l'argent. Rene lui propose de rembourser sa dette en créant un plan de communication pour Rasta Monsta grâce à l'agence où il travaille. Il proteste puiqu'il n'est que comptable là-bas mais il n'a pas vraiment le choix.

Cam vient voir Lulu dans sa boutique. Il lui parle de son rendez-vous avec Andy. Lulu n'a jamais entendu parler de lui. Elle lui propose de rencontrer son amie Nancy Frankenburg qui elle a des relations. Elle l'invite à l'accompagner à un brunch le week-end suivant afin de faire sa connaissance. Pour la remercier, Cam l'invite à dîner. Ils flirtent ensemble jusqu'à ce qu'un certain Tim arrive. Il se montre très proche de Lulu sous les yeux d'un Cam impuissant. Rachel déprime chez elle et décide d'appeler Domingo.

Ensuite, Cam vient retrouver Ben sur son lieu de travail. Il crée le design du tee-shirt d'un groupe et assiste à leurs répétitions pour se donner une idée de ce qu'ils recherchent. Il est d'accord pour rencontrer Nancy. Rene, quant à lui, retrouve Kevin à son agence. Il prend rapidement conscience du fait que pour faire connaître Rasta Monsta, il va devoir investir beaucoup d'argent. Kevin est renvoyé par son patron alors qu'il tentait de se montrer conciliant et de faire un prix d'amis à Rene. Les affaires sont les affaires.

Cam visite un appartement avec David qui lui donne des conseils. Il prend rapidemment conscience qu'il n'a pas encore les moyens de s'émanciper. Lorsque David reçoit un appel de Domingo, Cam devient pensif. Pendant ce temps, Ben se rend au bureau d'Andy afin de récupérer les échantillons de Crisp qu'il présentera à Nancy. Andy le prend très mal et c'est la fin de leur courte collaboration.

Rene surprend Jabar et ses autres employés essayant de créer une publicité pour Rasta Monsta. Rene les remercie mais il ne veut pas qu'ils utilisent des armes. Il ne voudrait pas que tous les efforts passés à soigner son image aient été vains. Au même moment, Cam propose à Domingo de vendre sa marchandise grâce à Rasta Monsta. La camionnette itinérante de la marque pourrait leur servir de couverture. Domingo accepte aussitôt.

Quelqu'un sonne à la porte de Rachel. C'est Domingo qui lui apporte de la marchandise qu'elle désire inspecter. Il la complimente sur son appartement. Ben est nerveux lorsque Cam lui apprend que Lulu est coincée aux Hamptons pour la nuit. Elle ne pourra pas les accompagner au brunch. Ils choisissent de s'y rendre même sans elle. 

Chez Rachel, Domingo lui fait essayer des joints. Elle se demande dans quelle nouvelle galère elle s'est embarquée concernant son nouveau travail. Ils décident d'aller faire un tour tandis que Ben et Cam sont à la soirée de Nancy. Ils parlent avec le célèbre styliste Isaac Mizrahi. Ben tente une percée avec Nancy mais elle le rembarre poliment.

Rachel et Domingo se promènent dans la rue lorsque Domingo est tout à coup fasciné par un gant. De leur côté, Ben et Cam explorent l'appartement de Nancy et commencent à se chamaîller. Nancy les surprend dans la chambre de son fils, ils prétendent chercher le portefeuille de Ben puis s'en vont avant de se rendre compte qu'ils ont oublié le sac contenant les modèles. Cam dit à Ben qu'ils reviendront le récupérer le lendemain.

Rene entre en contact avec Wilfredo Gomez mais il n'est pas interessé pour reprendre une carrière professionnelle. Domingo raccompagne Rachel après leur promenade. Elle l'embrasse en guise d'au revoir. Rene insiste auprès de Wilfredo, allant jusqu'à le menacer. Celui-ci demande à en parler à son cousin mais aparemment, il ne va pas avoir d'autres choix que d'accepter la proposition de Rene; à savoir être le premier skater pro représentant de Rasta Monsta.

Ben vient récupérer le fameux sac chez Nancy. Elle lui dit que son fils a emprunté un sweat mais qu'elle le lui rendra dans quelques jours puisqu'il est actuellement parti chez son père à San Francisco. Ben lui dit que ce n'est pas la peine. Ensuite, il lui fait clairement comprendre qu'il souhaite faire des affaires avec elle. Elle lui répond qu'elle y pensera.

[Previously]

Générique


Julie : Tu mets pas un t-shirt Crisp ?
Ben : Je devrais ?
Ça va faire trop commercial.
Julie : C'est pas le but ?
Ben : Merde.
Prends la carte de visite d'Andy.
Je dois vérifier l'adresse.
Julie : Trouvée.
Ben : Merci.
Julie : Vous êtes sortis ensemble longtemps, avec Rachel ?
Ben : Trois ans, avec des coupures.
C'est mieux ?
Julie : Croustillant, mais délicieux.
Et nutritif.
Ben : Tu fermes derrière moi ?
Julie : Oui. Je mets les clés où, quand je pars ?
Ben : Garde-les.
Julie : Tu me donnes des clés ?
C'est un grand moment.
Je les laisserai sous le tapis en partant.
Je voulais te voir paniquer.
Ben : Pourquoi je paniquerai ?
Julie : Tu veux que j'aie une clé ?
Ben : T'en veux une ?
Julie : Je veux que tu saches ce que tu veux.
Ben : Je veux être à l'heure.
Julie : Salut.
Ben : À ce soir.
Julie : Bonne chance pour les tee-shirts.

Cam : Ça doit être là.
Ben : N'hésite pas à en prendre deux.
Cam : C'est parti.
Ben : On y va.

Andy : Les marges sur le coton japonais, ça doit vous tuer.
Je peux vous avoir la même chose à moitié prix.
Ben : Tu es commercial pour d'autres designers ?
Andy : Honnêtement, non.
Mais ma famille travaille là-dedans depuis cinq générations et je suis un bon vendeur.
Je vends des uniformes depuis mes 13 ans.
Vous imaginez ce que je pourrais faire pour Crisp ?
Cam : Nous baratine pas.
Andy : J'ai pas de showroom en ville, dans un loft sympa, avec une bombe à la réception.
Mais ensemble, on peut devenir un showroom en ville avec une armée de bombes réceptionnistes.
Ben : Et pour Barney's ?
Andy : Si vous voulez y être, j'appellerai jusqu'à avoir un entretien.
Ben : Tu connais personne là-bas ?
Cam : Barney's l'obsède.
Il y travaillait avant.
Ben : Ignore-le.
Andy : Je serais pareil à ta place.
En résumé, travailler avec moi, c'est un défi car je connais pas tous les acheteurs du monde.
Mais être les petits nouveaux, ça aide.
Quand j'aurai des contacts, je ne vendrai qu'une marque.
Je mangerai, dormirai, vivrai et mourrai avec Crisp.
Les mecs, allez.
Laissez-moi une chance de faire mes preuves.
C'est juste, non ?
Cam : D'accord.
Andy : Laissez-moi des échantillons.
Je veux commencer très vite.

Robin : Je sais, mais c'est une salope.
Que veux-tu que je te dise ?
Oui, c'est ma soeur.
Si elle arrêtait de faire la traînée et se prenait au sérieux, les mecs la prendraient au sérieux.
Je sais pas quoi te dire.
Heureusement que t'as deux filles.
Maman, je dois y aller.
J'ai un entretien.
Ça va s'arranger.
Au revoir.
Désolée.
Bonjour, Robin.
Ravie de vous rencontrer.
Rachel : Moi aussi. Voici pour vous.
Robin : Voyons voir.
C'est vous.
Rachel : Comment ça ?
Que voulez-vous dire ?
Robin : Vous êtes parfaite.
Rachel : Non, loin de là.
Robin : Vraiment ?
Parce que je le suis.
Et j'essaie de trouver une autre moi.
Que pensez-vous de "Biscuit" ?
Vous le lisez ?
Rachel : Pas toujours.
Mais quand je le lis, j'aime bien.
Robin : Dites-moi.
Pourquoi devrais-je vous embaucher alors que vous avez admis ne pas lire "Biscuit" et ne pas être parfaite ?
Rachel : Voilà mon point de vue.
J'adore cuisiner.
J'adore faire des gâteaux.
Je suis une artiste.
Enfin, j'y reviendrai.
Mais dans mon appartement, la cuisine fait 2m².
Je représente une génération de jeunes femmes qui, à ce moment de leur vie, ne peuvent que rêver... de jongler entre famille et travail, tout en cuisinant parfaitement.
On est dans une période de transition.
Et on voit "Biscuit" comme une grande soeur cool.
Robin : J'adore ça.
Vous êtes branchée.
C'est ce qu'il nous faut.
J'adore.

Kevin : Encore un "Cuba Libre".
Et mettez un peu plus de Bacardi.
C'est pas le seul café avec le câble.
Kevin : Je sors, mec.
Eddie : Tourne-toi.
Kevin : Il se passe quoi ?
J'ai essayé de t'appeler.
Rene : Je vois pas pourquoi tu n'as pas réussi.
Je viens de passer chez Orange, pas vrai Eddie ?
Eddie : La réception est meilleure.
Kevin : Attendez.
Désolé, c'était stupide.
J'avais l'argent.
Vraiment.
St. John m'a ruiné.
Rene : Normalement, Jabar te casserait le nez pour 4000 $.
Kevin : S'il te plaît, non.
On se connaît depuis longtemps.
Rene : Mais en fait, je suis venu aujourd'hui... pour t'offrir une autre option de paiement.
Au lieu de te tabasser toutes les semaines, tu vas t'arranger pour que ton agence de pub, s'occupe de mon entreprise.
Kevin : Rene, t'es un usurier.
Rene : Pour Rasta Monsta, idiot.
Je veux faire grandir ma marque.
Je dois trouver une stratégie pour que ça soit connu en banlieue.
Kevin : Mais, je suis comptable.
Je suis pas dans la création.
Rene : Alors, t'as intérêt à devenir créatif, rapidement.
Tu me reçois ?

Lulu : T'aurais dû me dire que tu cherchais un commercial.
Cam : On cherchait pas, on est tombés sur cette opportunité et on a besoin d'aide pour la vente, Mlle deux-sweats-pour-commencer.
On galère.
Lulu : Jamais entendu parler d'Andy Sussman.
Cam : C'est un nouveau.
Lulu : Si Ben veut rentrer chez Barney's, il faut voir mon amie Nancy Frankenburg.
Elle a le meilleur showroom de NY, et elle connaît des gens chez Barney's.
Cam : Sérieux ?
Lulu : On sait jamais.
Autant la rencontrer.
Cam : C'est vrai.
Lulu : Elle organise un brunch ce week-end, si vous voulez venir avec moi.
Cam : Tu ferais ça pour nous ?
Lulu : Pour Ben, oui.
Ça me fait plaisir.
Cam : Et toi et moi ?
Je t'emmène quand au 1 Oak ?
Lulu : Je sors plus vraiment.
J'ai fait un malaise dans un club quand j'avais 15 ans.
Je suis casanière.
J'aime cuisiner.
Cam : On fera ça, alors.
Lulu : Tu vas cuisiner pour moi ?
Cam : Oh oui.
Mon "ropa vieja" va changer ta vie.
Lulu : Je viens quand tu veux.
Cam : Sauf que j'ai pas encore de vraie cuisine.

Tim : J'arrive pas à croire que t'es vendu ces merdes si vite.
Et que vendre de l'héroïne était facile.
Content de te voir.
Ça va, mec ?
Le pote de Ben, c'est ça ?
Ton nom ?
Cam : Cam.
Tim : Comment était ta soirée ?
Cam : C'était sympa.
Tim : Je te la pique histoire qu'on parle de la vente de cette merde.
Désolé, mec.
T'as faim ?
Lulu : Désolée, Cam.

Rachel : C'est Rachel.

Ben : Elle a l'air parfaite, mais Andy ?
On lui laisse pas une chance ?
Cam : Si, mais ça coûte rien de prendre le temps d'y réfléchir.
D'où tu connais Nailgun ?
Ben : Le Bon Coin.
Cam : Ils t'ont payé le dessin combien ?
Ben : 300.
Cam : Alors, ces gars sont bons ?
Fille : Ils te feront danser la bite.
Cam : Et voilà.
Ben : Nancy Frankenburg vit où ?
Cam : Bank street.
Ben : Dans West Vill ?
Cam : Une brownstone.
Ben : Si on va à son brunch, on devrait récupérer nos échantillons.
Cam : Tu peux passer chez Andy ?
Ton pote va visiter un appart.
Ben : Quoi ?
J'aime ta confiance, petit.
Cam : Il faut bien que je me lance.

Mec : Ils aiment ton dessin, mais ils veulent revoir quelques trucs.
Désolé. Ils sont perfectionnistes.
Tu connais les artistes.

Voix : "Ce mec est en passe de devenir le prochain roi de Burn."
"Regardez-moi ce saut qu'il nous fait."
Kevin : C'est génial.
Pas vrai ?
Génial.
Mec 2 : En gros, un sportif de l'extrême représente votre marque, d'accord ?
Ils font des cascades de folies en portant votre logo.
Vous enregistrez la cascade, la diffusez sur Internet.
Les gamins font tourner la vidéo à leurs amis et ça se gère tout seul.
Rene : On doit faire ça pour que Rasta Monsta entre dans les banlieues ?
Mec 2 : Votre vidéo devient virale.
Soudainement vous avez des millions de paires d'yeux dans tout le pays, et même le monde, qui vous regardent.
Rene : Virale ?
Kevin : Et le meilleur... tu ne payes rien, pas un centime.
Mec 2 : Il faut quand même produire la vidéo et les frais d'agence, bien sûr.
Rene : Je déteste les frais.
Kevin : Bien sûr.
Mais comparé à une pub télé, ça coûte rien.
Mec 2 : C'est vrai.
Le plus cher est de payer l'athlète.
Rene : C'est cher ?
Mec 2 : Ça dépend à qui vous demandez.
Ça peut être 50 000 $.
Rene : Pour faire du skateboard ?
Mec 2 : Il faut un certain niveau quand même.
Kevin : Le mec risque sa vie pour toi.
Pardon.
Rene : Je vais y réfléchir.
Merci pour votre temps.
Vous étiez géniaux.
Je vous recontacterai.
La sortie ?
Mec 2 : La première à droite.
Vide ton bureau.
Tu es viré.
Kevin : Vraiment ?
Sérieusement ?
Mec 2 : Oui, sérieusement.
Kevin : C'est super sympa.
Putain de chamallows.

Cam : J'ai toujours rêvé d'avoir une vue pareille.
T'as chopé hier soir ?
Ça a marché.
Kappo : Non, le contraire.
J'ai dormi au bureau hier soir.
Je suis en pleine négociation.
Ça me tue.
Mais si ça marche, je t'offre cet appart pour Hanukkah.
Fille : Si vous êtes intéressé, remplissez ces documents et laissez-les-moi à mon bureau.
Merci.
Caitlin, c'est Brianna.
Salut, toi !
Kappo : Je l'épouserais bien hier.
Tu peux payer le loyer ?
Cam : Ben et moi, on a signé avec un commercial.
Plus 50 heures par semaine pour Rene.
Donc, ouais, je pense que je peux y arriver.
Kappo : Je vais t'apprendre la formule que m'a apprise ma mère en sortant de la fac.
Le loyer égale une semaine de salaire.
Cam : Celle de ma mère, c'était ice-tea en poudre et vodka.
Donc pour vivre ici, je dois me faire 3000 par semaine ?
Putain.

Kappo : Domingo Starr.
T'as eu mes messages pour mes cousins ?
Des hippies juifs de Newton, Mass, en ville pour un concert de Jack Johnson.
Mec, tu vas te faire une fortune.
Le seul truc c'est qu'ils sont à Chappaqua.
Il faut livrer.

Andy : Tu crois que je suis retardé ?
Ben : Non.
Andy : Non mais sérieux ?
"J'ai besoin des échantillons pour des amis" ?
C'est quoi ?
T'as signé avec quelqu'un ?
Ben : Non.
Andy : Si, tu l'as fait.
Ben : C'est pas vrai.
Andy : C'est quoi ce bordel, alors ?
Sois franc avec moi.
Ben : On va peut-être voir quelqu'un à un brunch, mais rien d'officiel.
Juste comme ça.
Andy : Juste comme ça !
Tu risques de me perdre, pour un brunch ?
J'ai dû faire une sacrée impression.
Ben : Honnêtement, tu nous as coincés hier.
Andy : Je suis passionné par mon métier !
Je vise, charge et tire.
Ça s'appelle avec les couilles.
Ben : Oui, et on a aimé.
Andy : Super.
Super !
Dis-moi t'es partant ou pas ?
Parce que tu vois, je reviens pas en arrière.
Ben : Je sais pas.
On pensait juste que...
Andy : Dis ce que tu as à dire.
Ben : Je veux dire qu'on a besoin de nos échantillons.
Désolé.
Andy : Donc on arrête.
Profite de ton week-end.


Eddie : Moi et Mike, on a réfléchi et je crois que ça pourrait faire parler de Rasta Monsta.
Rene : Bon. Voyons ça.
Mais à quoi vous pensez les gars ?
Tu vas tuer Jabar.
Tu t'es déjà tiré dans le pied.
Jabar : Patron, c'est des balles à blanc et il y a une amorce dans la canette.
On t'a eu.
Sécurité avant tout.
Rene : Vous ne comprenez pas !
Pas d'armes !
Je bosse dur sur mon image, et voulez vous la jouer "Scarface".
La prochaine fois que vous réfléchissez, utilisez votre cerveau, d'accord ?
Eddie : Merde.
Rene : Merde.
Eddie : Ça va ?
Rene : Ça va ?
Il s'est fait dessus.
Assieds-le.
Mike : Viens par ici.
Rene : Assieds-le !
Jabar : Ça va.

Cam : Donc j'ai pensé... tu as besoin de livrer, et vu
que je tourne en ville la journée... Un peu de synergie.
Domingo : Qu'on soit clairs.
Tu veux livrer avec ton van Rasta.
Ça sera parfait.
Comme un camion de glace.
Tu sais, genre,
"Flicaille, viens prendre ta beuh."
Cam : Non, ça sera pas comme ça.
Ça sera réglo, on sera sous-couverture.
T'en penses quoi ?

Fille : Regarde-moi ce chien.
J'en veux un.
Domingo : Alors Stace ?
Ça va ?
Fille : Crevée.
Mais mon copain m'amène à Porto Rico pour le week-end, c'est ma lumière au bout du tunnel.
Domingo : Voilà votre lumière au milieu du tunnel.
Balance.
Fille : Je vais essayer de faire fumer Daniel pendant le week-end.
Il doit apprendre à se détendre.
Domingo : Le monde entier doit apprendre à se détendre.
Fille : Merci, bébé.
Domingo : Profite.

Cam : Tu veux y réfléchir ?
Domingo : Y a pas moyen.
Je prends un train pour Chappaqua et retour dans la vraie vie.
Tu peux me déposer ?
Cam : Oui, bien sûr.
Domingo : C'est cool.
Viens par ici, Boo.
Le dit pas à ton maître.
Je suis supposé te promener.

Rachel : Je t'en prie, entre.
Et voilà.
Domingo : T'as vraiment un chouette appart'.
Rachel : Merci.
Tu peux t'asseoir là, et sortir tes marchandises.
Et je les parcourrai.
Domingo : Alors je vais les sortir pour que tu les parcoures.

Ben : Comment ça, Lulu ne vient pas ?
Cam : Des problèmes pour rentrer des Hamptons.
Elle est coincée là-bas.
Ben : Tu te fous de moi ?
Cam : Elle doit être avec un mec.
Ben : On a perdu notre commercial.
Et on peut pas rentrer.
Cam : Pourquoi pas ?
Ben : On va pas entrer comme des voleurs.
C'est bizarre.
On connaîtra personne.
Cam : On est là avec nos échantillons.
Les gens se connaîtront pas tous.
Il y aura au moins cent personnes.
Ça se verra pas.

Concierge : Puis-je prendre votre sac ?
Cam : Bien sûr.
Ben : Garde-le avec nous.
Cam : On va le garder avec nous.
Et maintenant ?
Ben : Cherchons à manger.
Cam : Y a des huîtres.
Ben : Bonjour.
Cam : Quand j'étais barman à Balthazar, j'abusais de ma remise employé au bar des fruits de mer.
On m'appelait le suceur des mers.
Ben : Et puis, ils t'ont viré une semaine après tes débuts.
Cam : Je détestais ce job de toute façon.

Rachel : Maintenant que j'ai un job, je me demande... quelle peine de prison je viens de m'infliger.
Domingo : Tu devrais être fière.
T'as géré l'entretien.
Rachel : Oui, mais je gère toujours les entretiens.
J'aime obtenir le job.
Domingo : Bonne chance.
Viens, lève-toi.
Rachel : On va où ?
Domingo : On va te faire prendre l'air frais avant que tu t'enfermes dans cette cage à air conditionnée.
Et Rufus doit pisser.

Isaac : La vie nocturne était super pour la mode, avant.
Il n'y avait pas de Sartorialist pour te dire quoi faire.
Il y avait cinq boîtes, il fallait y être.
On y voyait, Blondie, Sprouse et Nancy.
Directement venue du train.
C'était quand... Dans les environs de 1987.
Cam : J'aurais aimé y être.
Ben : T'avais cinq ans, alors ça aurait été bizarre.
Isaac : Merci.
Merci beaucoup.
Bref, regardez-la maintenant.
C'est une icône de la mode, non ?
Et elle tue ces acheteurs.
Vous avez vu ?
Corrigez-moi si je me trompe, mais c'est Nancy qui a introduit les premiers jeans à 100 $ aux États-Unis.
Et regardez-la maintenant.
"Vous pouvez arrêter avec les jeans ?"
Arrêtez avec les jeans.
Au revoir.

Nancy : Ne t'inquiète plus.
Je m'en occupe, va t'amuser.
Bonjour. Qui êtes-vous ?
Qui vous a amené ?
Ben : Lulu di Florio.
Nancy : Je ne l'ai pas vue.
Ben : Ouais, elle est pas là.
Elle est dans les Hamptons.
Coincée.
Mais on a des trucs à nous dans sa boutique.
Nancy : Vous êtes designer.
C'est bien.
Ben : Ouais, merci.
On a amené des échantillons, si vous voulez y jeter un oeil.
Nancy : Vous parlez affaires le dimanche ?
Ben : On m'arrête plus.
Nancy : Contente de vous avoir connu.
Regardez qui voilà.
Stefan !
Comment était Como ?
Stefan : Glacé, mais Berlin était génial.
Nancy : J'imagine.
Je veux tout savoir.
Arrête.

Rachel : Je suis restée là, à me demander "est-ce que je serais devenue une surdouée du banjo ?"
Domingo : Merde.
Rachel : Quoi ?
Domingo : Regarde ça.
Un gant abandonné.
Quand j'en vois un dans le caniveau, je me sens mal pour lui.
Rachel : Tu te sens mal pour le gant ?
Domingo : Ouais. Ça a commencé quand j'étais gosse, avec des mitaines.
Un gant.
Rachel : Un gant.

Ben : On est pas censés être en haut.
Cam : Il y avait la queue aux toilettes.
Je pense que Mlle Nancy souhaiterait que les gens puissent se soulager.
Ça, c'est mon style.
Juste là.
Ben : C'est la chambre de son gosse.
Cam : Comment tu sais ?
Ben : J'ai vu des photos sur le frigo.
Cam : C'est plus grand que l'appart où je vis avec ma grand-mère et mes cousins.
Ben : C'est une chaise Eames.
Putain.
C'est un Basquiat ?
C'est un Basquiat.
Cam : Certaines choses ne changent jamais.
J'avais ces petits militaires.
Ben : Mon Dieu.
J'y crois pas, on a voulu lui montrer nos échantillons.
T'avais dit qu'on ferait des affaires.
Cam : C'est ce que Lulu avait dit.
Ben : Repose le jouet, on s'en va.
Cam : Non, il en a des millions.
C'est un souvenir de cette chambre.
Ben : Repose-le.
On pourrait nous regarder.
Il y a peut-être des caméras.
Cam : C'est du délire.
Ben : Du délire ?
On n'en sait rien.
On ne sait rien de ce qui se passe ici.
Repose-le.
Tu m'as frappé ?
Cam : Quoi ?
Ben : T'as commencé.
Cam : Tu veux pas ça.
Ben : T'as commencé.
Cam : Attention aux pieds.
Ben : Quoi ?
Cam : Regarde ça, petit. T'en dis quoi ?
Ben : Quoi ?
Cam : Par ici.
Ben : On est quittes.
Cam : J'ai ça, maintenant.
Ben : Des armes ?
Nancy : Vous voulez sortir ?
Cam : Tu l'as retrouvé ?
Ben : Ouais, désolé.
Cam : Désolé.
Ben : Mon porte-feuille...
Je l'avais perdu.


Cam : C'est pas notre monde.
Tous des hypocrites, de toute façon.
On devrait reprendre Andy.
Ben : C'est pas lui qu'il nous faut.
On a été des outsiders toute notre vie.
Je veux que ça change.
Putain, t'as laissé le sac !
Cam : Tu l'as laissé.
Ben : Je peux pas y retourner tout de suite.
Cam : On ira demain.
Ben : D'accord.
Cam : Au moins, on a eu quelque chose.
Ben : T'es le pire.
T'es le pire du pire.

Rene : Excuse-moi.
Tu t'appelles Wilfredo Gomez ?
Wilfredo : Et ?
Rene : Rene Calderon.
Le cousin de Cam.
Wilfredo : Lui et son pote Donald ont pourri ma carrière de skateur.
Rene : C'est pour ça que je suis là, pour t'aider à revenir au top.
Wilfredo : Je ne skate plus pro.
Tout ce stress me rendait complètement fou.
Je skate pour moi.
Et je fais des sandwiches chez Ruban Bleu.
Rene : Cinq minutes.
Wilfredo : Désolé.

Domingo : Allez Donna.
Rachel : D'accord.
Domingo : Très bien.
Rachel : Je veux pas dire au revoir à ma nouvelle meilleure amie.
Tu vas me manquer, Donna Summer.
Domingo : Elle t'adore, bébé.
Rachel : Qui appelle son chien Donna Summer ?
Domingo : Je trouve que ça lui va bien.
Rachel : Merci, Dom.
Domingo : Pas de problème.

Rene : T'as un choix à faire, mon ami.
Soit, tu deviens le premier skateur sponsorisé par Rasta Monsta, soit, tu refuses et deviens le premier... skateur unijambiste.
Alors pour nous deux, me ferais-tu l'honneur d'être le premier pro à représenter mon bébé,
Rasta Monsta ?
Wilfredo : Je peux en parler à mon cousin ?
Rene : Je t'en prie.
Tu veux de l'intimité ?
Wilfredo : Oui, s'il te plaît.

Nancy : Le sac coupable.
Ben : Le sac coupable.
Nancy : Il manque un de vos sweats.
Mon fils est passé ce matin, et en a pris un.
Ben : Vraiment ?
Nancy : Vous le récupérerez.
Il est à San Francisco avec son père.
Il revient dans quelques jours.
Ben : Il peut le garder, c'est rien.
Content qu'il l'ait aimé.
Nancy : Louie a un très bon goût.
Ben : C'est de famille.
Je me suis complètement ridiculisé hier.
Nancy : Je vais pas vous contredire.
Ben : Désolé pour ça.
Je veux être très clair.
Je veux faire affaire avec vous.
Nancy : Je garde ça en tête.
Bonne nuit.
Ben : À bientôt.


Générique de fin

Generic


Julie: You not put a shirt Crisp?
Ben: I should?
It'll be too commercial.
Julie: This is not the goal?
Ben: Shit.
Take the business card of Andy.
I have to check the address.
Julie: Found.
Ben: Thank you.
Julie: You're out together long, with Rachel?
Ben: Three years, with cuts.
Is that better?
Julie: crispy, but tasty.
And nutritious.
Ben: You shut behind me?
Julie: Yes. I put the keys where, when I leave?
Ben: Keep them.
Julie: You give me the keys?
It is a great time.
I'll leave them under the rug starting.
I wanted to see you panic.
Ben: Why I paniquerai?
Julie: You want me to have a key?
Ben: You want one?
Julie: I want you to know what you want.
Ben: I want to be on time.
Julie: Hi.
Ben: At tonight.
Julie: Good luck with the shirts.

Cam: It must be there.
Ben: Do not hesitate to take two.
Cam: It's gone.
Ben: Let's go.

Andy: The margins on the Japanese cotton, it must kill you.
I can have the same thing for half price.
Ben: You are shopping for other designers?
Andy: Honestly, no.
But my family works in there for five generations and I am a good salesman.
I sell uniforms since I was 13.
Can you imagine what I could do to Crisp?
Cam: We baratine not.
Andy: I have no showroom in town, in a nice loft, with a bomb at the reception.
But together we can become a showroom in the city with an army of receptionists bombs.
Ben: And Barney's?
Andy: If you want to be, I will call up an interview.
Ben: You know anyone there?
Cam: Barney's obsesses him.
He worked there before.
Ben: Ignore it.
Andy: I would like your place.
In summary, work with me, it's a challenge because I know all the buyers of the world.
But being the new kids, it helps.
When I have contacts, I will not sell that brand.
I eat, sleep, live and die with Crisp.
Guys, come on.
Leave me a chance to prove myself.
That's right, no?
Cam: Okay.
Andy: Let me samples.
I want to start quickly.

Robin: I know, but she's a slut.
What do you want me to say?
Yes, this is my sister.
If she stopped making the trail and took himself seriously, the guys take seriously.
I do not know what to say.
Luckily you got two daughters.
Mom, I gotta go.
I have an interview.
It will get better.
Goodbye.
Sorry.
Hello, Robin.
Nice to meet you.
Rachel: Me too. Here for you.
Robin: Let's see.
It's you.
Rachel: How are you?
What do you mean?
Robin: You are perfect.
Rachel: No, far from it.
Robin: Really?
Because I am.
And I try to find another me.
What do you think of "Biscuit"?
You read it?
Rachel: Not always.
But when I read it, I like.
Robin: Tell me.
Why should I hire you when you admitted to not reading "Biscuit" and not be perfect?
Rachel: That's my perspective.
I love cooking.
I love making cakes.
I am an artist.
Finally, I will return.
But in my apartment, the kitchen is 2m ².
I represent a generation of young women who, at this point in their lives, can only dream ... to juggle family and work, while cooking perfectly.
We are in a transition period.
And we see "Biscuit" cool as a big sister.
Robin: I love it.
You are connected.
This is what we need.
I love it.

Kevin: Another "Free Cuba".
And put some more Bacardi.
This is not the only coffee with the cable.
Kevin: I go out, man.
Eddie: Turn around.
Kevin: What's going on?
I tried to call you.
Rene: I see no reason why you did not succeed.
I just spent at Orange, right Eddie?
Eddie: The reception is better.
Kevin: Wait.
Sorry, it was stupid.
I had the money.
Really.
St. John has ruined me.
Rene: Normally, Jabar you break your nose to $ 4,000.
Kevin: Please do not.
We've known for a long time.
Rene: But actually, I'm here today ... to offer you another payment option.
Instead of getting beat up every week, you'll arrange for your ad agency, handling my business.
Kevin: Rene, you're a loan shark.
Rene: For Rasta Monsta, idiot.
I want to grow my brand.
I must find a strategy for it is known in the suburbs.
Kevin: But, I'm an accountant.
I'm not in creation.
Rene: So, you better be creative, quickly.
You read me?

Lulu: You should have told me you were looking for a business.
Cam: It is not looking, we came across this opportunity and we need help with the sale, Miss two-hoodies-to-start.
One galley.
Lulu: Ever heard of Andy Sussman.
Cam: It's a new one.
Lulu: If Ben wants to go home Barney's, you should see my friend Nancy Frankenburg.
She has the best showroom in NY, and she knows people at Barney's.
Cam: Really?
Lulu: You never know.
Both the meeting.
Cam: It's true.
Lulu: She organized a brunch this weekend, if you want to come with me.
Cam: You'd do that for us?
Lulu: For Ben, yes.
It makes me happy.
Cam: And you and I?
I'll take one when the Oak?
Lulu: I go out anymore.
I had discomfort in a club when I was 15.
I'm a homebody.
I love to cook.
Cam: We'll do it, then.
Lulu: You're going to cook for me?
Cam: Oh yeah.
My "ropa vieja" will change your life.
Lulu: I come when you want.
Cam: Except that I have not yet real kitchen.

Tim: I can not believe you're the shit sold so fast.
And that selling heroin was easy.
Glad to see you.
Okay, dude?
The buddy Ben, right?
Your name?
Cam: Cam.
Tim: How was your evening?
Cam: It was fun.
Tim: I'm the picnic story that talks about selling this shit.
Sorry, dude.
You're hungry?
Lulu: Sorry, Cam.

Rachel: Rachel.

Ben: She looks perfect, but Andy?
He leaves no chance?
Cam: Yes, but it costs nothing to take the time to think.
Where you know nailgun?
Ben: The Bon Coin.
Cam: They've paid the drawing how?
Ben: 300.
Cam: So, these guys are good?
Girl: They will make you dance dick.
Cam: That's it.
Ben: Nancy Frankenburg lives where?
Cam: Bank street.
Ben: In West Vill?
Cam: A brownstone.
Ben: If we go to brunch, we should collect our samples.
Cam: You can go at Andy?
Your buddy will visit an apartment.
Ben: What?
I love your confidence, small.
Cam: It is important that I go.

Dude: They like your drawing, but they want to review some stuff.
Sorry. They are perfectionists.
You know the artists.

Voice: "This guy is fast becoming the next king of Burn."
"Look at that jump that we made."
Kevin: That's great.
Right?
Great.
Guy 2: Basically, an extreme athlete represents your brand, right?
They do crazy stunts wearing your logo.
You save the waterfall, the stream on the Internet.
The kids are turning the video to their friends and it manages itself.
Rene: We must do that for Rasta Monsta between the suburbs?
Guy 2: Your video becomes viral.
Suddenly you have millions of pairs of eyes all over the country, and even the world, watching you.
Rene: Viral?
Kevin: And the best ... you are paying nothing, not a cent.
Guy 2: You still have to produce video and agency fees, of course.
Rene: I hate fees.
Kevin: Sure.
But compared to a TV ad, it costs nothing.
Guy 2: It's true.
The most expensive is to pay the athlete.
Rene: Is it expensive?
Guy 2: It depends on who you ask.
It could be $ 50 000.
Rene: For skateboarding?
Guy 2: It takes some level anyway.
Kevin: The guy risks his life for you.
Forgiveness.
Rene: I'll think about it.
Thank you for your time.
You were great.
I'll reply.
The output?
Guy 2: The first right.
Empty your desk.
You're fired.
Kevin: Really?
Seriously?
Guy 2: Yeah, seriously.
Kevin: This is super nice.
Damn marshmallows.

Cam: I always dreamed of having such a view.
You got busted last night?
It worked.
Kappo: No, the opposite.
I slept in the office last night.
I am in negotiations.
It kills me.
But if it works, I offer you this apartment for Hanukkah.
Girl: If you are interested, fill out these documents and leave them to me at my office.
Thank you.
Caitlin is Brianna.
Hello, you!
Kappo: I would marry well yesterday.
You can pay the rent?
Cam: Ben and I are signed with a commercial.
More than 50 hours per week for Rene.
So yeah, I think I can do it.
Kappo: I'll teach you the formula I learned from my mother coming out of college.
Rent equal one week's pay.
Cam: That of my mother, it was ice-tea powder and vodka.
So to live here, I have to make 3000 a week?
Fucking.

Kappo: Starr Domingo.
You got my messages to my cousins?
Jewish hippies of Newton, Mass., in town for a concert by Jack Johnson.
Dude, you're gonna make a fortune.
The only thing is that they are in Chappaqua.
You have to deliver.

Andy: You think I'm retarded?
Ben: No.
Andy: No, but seriously?
"I need samples for Friends"?
What is it?
Have you signed with anyone?
Ben: No.
Andy: If you did it.
Ben: That's not true.
Andy: What the hell, then?
Be frank with me.
Ben: We will perhaps see someone at a brunch, but nothing official.
Just like that.
Andy: Just like that!
You risk losing me for brunch?
I had to make a sacred feeling.
Ben: Honestly, we've caught you yesterday.
Andy: I am passionate about my work!
I aim, load and shoot.
It's called with the balls.
Ben: Yes, and we liked.
Andy: Great.
Great!
Tell me you're leaving or not?
Because you see, I come not back.
Ben: I know.
We just thought that ...
Andy: Say what you have to say.
Ben: I mean we need our samples.
Sorry.
Andy: So we stop.
Enjoy your weekend.


Eddie: Me and Mike, it was discussed and I think it could be the talk of Rasta Monsta.
Rene: Good. See it.
But what you guys think?
You're gonna kill Jabar.
You've already shot in the foot.
Jabar: Patron is blank bullets and there is a primer in the can.
You've been had.
Safety first.
Rene: You do not understand!
No weapons!
I work hard on my image, and you want to play the "Scarface".
The next time you think, use your brain, okay?
Eddie: Shit.
Rene: Shit.
Eddie: Okay?
Rene: Okay?
He got it.
Sit-on.
Mike: Come here.
Rene: Sit on!
Jabar: Okay.

Cam: So I thought ... you need to deliver, and saw
I turn to town the day ... A bit of synergy.
Domingo: Whether one is clear.
Want to give your van with Rasta.
It will be perfect.
As an ice cream truck.
You know, like,
"Cops, just take your weed."
Cam: No, it is not like that.
It is legit, it will be undercover.
What do you think?

Girl: Look at that dog.
I want one.
Domingo: So Stace?
Are you?
Girl: exhausted.
But my boyfriend brings me to Puerto Rico for the weekend, it's my light at the end of the tunnel.
Domingo: This is your light in the middle of the tunnel.
Balance.
Girl: I'll try to make smoking Daniel during the weekend.
He must learn to relax.
Domingo: The world must learn to relax.
Girl: Thank you, baby.
Domingo: Enjoy.

Cam: You wanna think about it?
Domingo: There's no way.
I take a train to Chappaqua and return in real life.
You can drop me off?
Cam: Yes, of course.
Domingo: It's cool.
Come here, Boo.
Not tell your master.
I'm supposed to take a walk.

Rachel: I pray thee, between.
And that's it.
Domingo: You got a really nice apartment.
Rachel: Thank you.
You can sit there and get your merchandise.
And I go through them.
Domingo: So I'll leave you for the parcoures.

Ben: How are you, Lulu does not come?
Cam: Problems returning from the Hamptons.
It is stuck there.
Ben: Are you kidding me?
Cam: It must be with a guy.
Ben: We lost our business.
And we can not return.
Cam: Why not?
Ben: We will not come like thieves.
It's weird.
Person will be known.
Cam: We're here with our samples.
People know not all.
There will be at least one hundred people.
It will be not.

Janitor: Can I take your bag?
Cam: Of course.
Ben: Keep it with us.
Cam: We will bear with us.
Now what?
Ben: Let us try to eat.
Cam: There's oysters.
Ben: Hello.
Cam: When I was a bartender at Balthazar, I abused my employee discount at the bar seafood
They called me the nozzle of the seas.
Ben: And then, they've fired a week after you started.
Cam: I hated that job anyway.

Rachel: Now that I have a job, I wonder ... what prison sentence I just imposed.
Domingo: You should be proud.
You've managed maintenance.
Rachel: Yes, but I always manage interviews.
I like to get the job.
Domingo: Good luck.
Come, get up.
Rachel: We're going where?
Domingo: We'll make you take the fresh air before you get locked in this cage in air conditioned.
And Rufus must piss.

Isaac: The nightlife was great for the fashion forward.
There was no Sartorialist to tell you what to do.
There were five boxes, you had to be there.
There were, Blondie, Sprouse and Nancy.
Came directly from the train.
That was when ... Around 1987.
Cam: I would have liked to be there.
Ben: You had five years, so it was weird.
Isaac: Thank you.
Thank you very much.
In short, watch it now.
It's a fashion icon, right?
And it kills these buyers.
You saw?
Correct me if I'm wrong, but it's Nancy who brought the first jeans to $ 100 U.S..
And look at it now.
"You can stop with jeans?"
Stop with the jeans.
Goodbye.

Nancy: Do you worry more.
I'm on it, go have fun.
Good morning. Who are you?
Who brought you?
Ben: Lulu di Florio.
Nancy: I have not seen.
Ben: Yeah, it's not there.
It is in the Hamptons.
Stuck.
But we have stuff to us in his shop.
Nancy: You are a designer.
That's good.
Ben: Yeah, thank you.
They brought samples, if you want to take a look.
Nancy: You talk business on Sunday?
Ben: I stop.
Nancy: Glad to have known you.
Look who's here.
Stefan!
How was Como?
Stefan: Glossy, but Berlin was great.
Nancy: I guess.
I want to know everything.
Stops.

Rachel: I just stood there, wondering "Is what I'd become a gifted banjo?"
Domingo: Damn.
Rachel: What?
Domingo: Look at this.
Dropped a glove.
When I see one in the gutter, I feel bad for him.
Rachel: You feel bad for the glove?
Domingo: Yeah. It started when I was a kid, with mittens.
A glove.
Rachel: A glove.

Ben: We're not supposed to be on top.
Cam: There was a line to the toilet.
I think Miss Nancy would like people to relieve themselves.
That's my style.
Right there.
Ben: It's his kid's room.
Cam: How do you know?
Ben: I've seen pictures on the fridge.
Cam: It's bigger than the apartment where I live with my grandmother and my cousins.
Ben: It's an Eames chair.
Fucking.
This is a Basquiat?
This is a Basquiat.
Cam: Some things never change.
I had these little soldiers.
Ben: My God.
I can not believe we wanted to show him our samples.
Told you we would do business.
Cam: That's what Lulu said.
Ben: Rest the toy, we're going.
Cam: No, there are millions.
It is a memory of that room.
Ben: The Rest.
One could look at us.
There may be some cameras.
Cam: This is madness.
Ben: From delusion?
We do not know.
Nothing is known of what happens here.
The rest.
You hit me?
Cam: What?
Ben: You got started.
Cam: You do not want that.
Ben: You got started.
Cam: Attention to the feet.
Ben: What?
Cam: Look at that, small. You say what?
Ben: What?
Cam: This way.
Ben: We're even.
Cam: I have it now.
Ben: Weapons?
Nancy: You want out?
Cam: You've found?
Ben: Yeah, sorry.
Cam: Sorry.
Ben: My wallet ...
I had lost.


Cam: It's not our world.
All hypocrites anyway.
It should take Andy.
Ben: It's not that we need him.
We were the underdogs all our lives.
I want things to change.
Damn, you've left the bag!
Cam: You let him.
Ben: I can not go back right away.
Cam: We'll go tomorrow.
Ben: Okay.
Cam: At least we had something.
Ben: You're the worst.
You're the worst of the worst.

Rene: Excuse me.
Your name is Wilfredo Gomez?
Wilfredo: And?
Rene: Rene Calderon.
Cam's cousin.
Wilfredo: He and his buddy Donald rotted my career as a skateboarder.
Rene: This is why I'm here to help you return to the top.
Wilfredo: I do most pro skate.
All this stress made me crazy.
I skate for myself.
And I make sandwiches at Blue Ribbon.
Rene: Five minutes.
Wilfredo: Sorry.

Domingo: Go Donna.
Rachel: Okay.
Domingo: Good.
Rachel: I want to say goodbye to my new best friend.
I'll miss you, Donna Summer.
Domingo: She loves you, baby.
Rachel: Who called his dog Donna Summer?
Domingo: I think it suits her.
Rachel: Thank you, Dom.
Domingo: No problem.

Rene: You got a choice, my friend.
Either you become the first skater sponsored by Rasta Monsta, or you refuse and become the first ... legged skateboarder.
So for both of us, would you do me the honor of being the first pro to represent my baby,
Rasta Monsta?
Wilfredo: I can talk to my cousin?
Rene: I beg you.
Want privacy?
Wilfredo: Yes, please.

Nancy: The bag guilty.
Ben: The bag guilty.
Nancy: It lacks one of your hoodies.
My son went this morning and took one.
Ben: Really?
Nancy: You will get it back.
It is in San Francisco with his father.
He returned in a few days.
Ben: He can keep it, it's nothing.
Glad he liked.
Nancy: Louie has a great taste.
Ben: It's family.
I completely ridiculed yesterday.
Nancy: I will not contradict you.
Ben: Sorry about that.
Let me be very clear.
I want to do business with you.
Nancy: I keep that in mind.
Good night.
Ben: See you.


Closing Credits

Kikavu ?

Au total, 7 membres ont visionné cet épisode ! Ci-dessous les derniers à l'avoir vu...

stella 
22.08.2017 vers 19h

drogba 
Date inconnue

elyxir 
Date inconnue

Lolo19 
Date inconnue

Sabzor 
Date inconnue

cleliagi 
Date inconnue

Derniers commentaires

Avant de poster un commentaire, clique ici pour t'identifier.

Sois le premier à poster un commentaire sur cet épisode !

Contributeurs

Merci aux 3 rédacteurs qui ont contribué à la rédaction de cette fiche épisode

Artjaq 
pretty31 
titeoce52 
Activité récente

Les acteurs
22.03.2024

Photos
14.02.2024

Vidéos
14.02.2024

Actualités
Sortie US | The Birthday Cake avec Luis Guzman

Sortie US | The Birthday Cake avec Luis Guzman
C'est aujourd'hui vendredi 18 juin, que sort aux Etats-Unis - dans les salles de cinéma et en vidéo...

Sortie US | Crisis avec Kid Cudi

Sortie US | Crisis avec Kid Cudi
C'est aujourd'hui que le film Crisis réalisé par Nicholas Jarecki est disponible aux...

Diffusion US | We Are Who We Are 1x08 sur HBO

Diffusion US | We Are Who We Are 1x08 sur HBO
Ce lundi 2 novembre, la chaîne HBO diffuse l'épisode final de la première saison de We Are Who We...

Diffusion US | We Are Who We Are 1x07 sur HBO

Diffusion US | We Are Who We Are 1x07 sur HBO
Ce lundi 26 octobre, la chaîne HBO poursuit la diffusion de la série We Are Who We Are avec Kid...

Diffusion US | We Are Who We Are 1x06 sur HBO

Diffusion US | We Are Who We Are 1x06 sur HBO
Ce lundi 19 octobre, la chaîne HBO poursuit la diffusion de la série We Are Who We Are avec Kid...

Newsletter

Les nouveautés des séries et de notre site une fois par mois dans ta boîte mail ?

Inscris-toi maintenant

HypnoRooms

chrismaz66, 24.03.2024 à 17:40

Bonsoir, nouvelle PDM/Survivor Illustré chez Torchwood, dédié aux épisodes audios, venez voter, merci !

Locksley, 25.03.2024 à 20:10

Pas beaucoup de promo... Et si vous en profitiez pour commenter les news ou pour faire vivre les topics ? Bonne soirée sur la citadelle !

choup37, Avant-hier à 10:09

La bande-annonce de la nouvelle saison de Doctor Who est sortie! Nouvelle saison, nouveau docteur, nouvelle compagne, venez les découvrir

Sas1608, Hier à 18:25

Pour les 20 ans de la série, le quartier de Desperate Housewives change de design ! Venez voir ça !

mnoandco, Aujourd'hui à 19:49

Nouveau design sur Discovery of Witches, n'hésitez pas un faire un p'tit détour même sans connaître la série.

Viens chatter !