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#107 : Pas de découragement

Pour Cam et Ben, l'heure est grave. Ils n'ont pas les 300$ hebdomadaire de Rene. En plus, c'est au même moment que l'élaboration de leurs 300 T-shirts se termine. Rene, lui, doit rencontrer le PDG de l'entreprise détentrice de Rasta Monsta. Malheureusement, un vieil impératif vient le discréditer.

Dans un autre coin de la ville, Rachel se remet en question car après lui avoir demandé d'emménager avec lui, Darren propose à Edie de décorer son hôtel...

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Titre VO
Keep on Truck'n

Titre VF
Pas de découragement

Première diffusion
28.03.2010

Première diffusion en France
28.09.2010

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Edie et Rachel

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Ben et Rachel

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Photo de l'épisode #1.07

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Participation exceptionnelle : Patrick Bauchau

Audience US : 0.57 M

1x07: Keep On Truck'n

Julie et Ben ont passé la nuit ensemble. Cam appelle Ben pour lui dire qu'il n'a pas l'argent de René. Ben lui dit qu'il le rejoint bientôt. Julie informe Ben qu'elle va à Baltimore pour le mariage de sa meilleure amie. Darren appelle Rachel qui est à la salle de sport mais ignore l'appel. René doit rencontrer un certain John, pour concrétiser son affaire.

Cam et Ben sont venus voir René. Edie informe Rachel que son petit ami leur a proposé de décorer son hôtel. Edie est enchantée au contraire de Rachel. René veut son argent dans la journée et non le lendemain. Il leur propose un marché pour racheter l'échéance de la semaine. Cam et Ben doivent vendre des boissons Rasta Monsta dans New-York. 

Ben confie à Cam que Julie l'a invité à Baltimore. Cam drague deux clientes. L'imprimeur appelle Ben pour lui dire que les tee-shirt sont prêts. Ben et Cam remballent tout dans le camion pour aller les voir mais René appelle Cam. Il sait qu'ils ont déserté le travail. Rachel et Edie rencontrent les associés de Darren. Rachel est mal à l'aise. Elles sortent et Darren vient leur dire qu'elles se chargeront de la décoration de l'hôtel. Rachel fait part de ses doutes à Darren concernant leur relation. Elle n'est pas prête à emménager avec lui et lui n'est pas prêt de baisser les bras. Il la fera changer d'avis.

Larry, l'agent de probation de René vient le voir. Il le soupçonne d'avoir volé de l'argent pour monter son entreprise et veut l'accompagner pour son rendez-vous. René n'a pas vraiment le choix. Henry l'imprimeur est hésitant mais Ben et Cam sont ravis du résultat. Edie et Rachel boivent un verre. René avoue à John que Larry est son agent de probation. Edie propose à Rachel d'être son associée. Mais si elle refuse de s'occuper de l'hôtel, elle pourrait la renvoyer.

John est séduit par René. Il le croit quand il lui dit qu'il a changé et veut faire affaire avec lui. Cam conseille à Ben d'appeler Julie et d'aller à Baltimore avec elle. Ils sont en train de manger quand on leur vole le camion de René. Ils appellent la police mais n'ont pas beaucoup d'espoir de retrouver les tee-shirt. Ben propose à son ami d'aller voir René avec lui mais Cam refuse. 

Ben appelle Julie qui est ravie quand il se propose de l'accompagner à Baltimore. Il arrive chez lui et est surpris de tomber sur Rachel. Cam vient voir son cousin. Rachel est complètement saoûle. Elle lui reproche de l'avoir laissée partir. Il lui propose de rentrer et elle accepte. 

Générique

Ben : Merde. Je suis occupé là.

Cam : Je sais. Désolé. Dis à Julie que je suis désolé.
Ben : Tu veux quoi ?
Cam : Tu te rappelles les billets de Dave Matthews que je devais dealer pour rembourser notre emprunt.
Ben : Ouais.
Cam : Je les ai pas eus.
Ben : Jésus.
Cam : Je sais, ça sent pas bon mais je vais aller dire à Renequ'on a pas ses 3 300 $. Ça serait pas mal d'avoir des muscles de Juif avec moi.
Ben : J'arrive dans 30 min.


Julie : Ça va ?
Ben : Ouais. J'ai une réunion que j'avais oubliée.
Julie : T-shirts ?
Ben : Quelque chose d'autre. Tu fais quoi plus tard ?
Julie : Je me prépare à partir.
Ben : Ouais ? Tu vas où ?
Julie : Je vais à Baltimore. Ma meilleure amie s'y marrie dimanche. Elle a loué une salle des fêtes dans un hôtel historique. Apparemment on va faire la fête comme en 1899.
Ben : B-more. Ça fait un bout.
Julie : Surtout toute seule.


Collègue de Rene : Les mecs des boissons.
Rene : Quoi de neuf, les gars ?
Homme 1 : Notre équipe a vérifié les accords et tu pourras avoir ton secteur.
Rene : Excellent. Alors, vous voulez l'argent quand ?
Homme 1 : Dès qu'on aura le feu vert de John Lardner.
Rene : Qui c'est ?
Homme 2 : Le propriétaire de L.F. Boissons. C'est l'entreprise qui possède Rasta Monsta. Il doit approuver ta franchise. Il arrive de Jamaïque pour te voir.
Rene : Je ne parle pas à n'importe qui. Parlez-lui, rendez-le heureux.
Homme 2 : C'est la procédure standard. On ne veut pas t'entuber. On est pas des gangsters. On est pas des voyous. 
Homme 1 : On est Juifs. On veut que cette affairese concrétise. Mais c'est John Lardner qui a le dernier mot.
Rene : Où veut-il qu'on se rencontre ?
Homme 1 : Au restaurant du Plaza à 19h.
Rene : Et après, tout est bon, juste ?
Homme 1 : Si tout se passe bien. Bonne Chance.
Collègue de Rene : Ça va, patron ?
Rene : Tu m'as déjà vu ne pas aller ? Ça va. Regarde qui est là.
Collègue de Rene : Bon Dieu.
Tito : Como esta papa ?
Rene : Ça fait plaisir de te voir.
Tito : Ça fait plaisir d'être là.
Rene : Bonjour, mes protégés. Comment ça va ?
Cam : Salut Rene.
Rene : Bien ?
Cam : Ça se passe, cousin ?
Rene : Bien, mec. Cam, viens ici. Viens ici. Un peu de politesse.
Cam : Quoi ?
Rene : Tiens la porte.

Edie : Pas loin de 45 000 idées. Bien sûr qu'on peut le faire. On est des pros. Absolument. Oui. Oui, ça marche. À plus tard. Merci, Darren.
Julie :  C'était...
Edie : Oui. Je sais pas comment t'as fait...
Rachel : Attends. Qu'est-ce que j'ai fait ?
Edie : Ton copain vient d'appeler pour nous offrir son hôtel... à décorer.
Rachel :  Tu plaisantes ?
Edie : Non. L'affaire n'est pas encore signée mais on va rencontrer les investisseurs et il va se porter garant pour nous. Mon Dieu, c'est si excitant Je l'adore. On peut faire le point dans une heure.
Rachel : Attends. C'est de la folie.
Edie : Je sais. On va décorer un putain d'hôtel.
Rachel : Non, pas ça. Darren m'a demandé d'emménager avec lui.
Edie : Et qu'as-tu répondu ?
Rachel : J'ai pas donné de réponse. Je l'ai évité ces derniers temps.
Edie : Dis oui, espèce de folle. Il est dingue de toi.
Rachel : Je trouve ça bizarre. Pourquoi il fait ça ? Pourquoi nous ?
Edie : Parce qu'on est de brillantes designers, voilà pourquoi.
Rachel : Je crois pas que c'est la seule raison.
Edie : On va tenter notre chance. Et si la situation devient inconfortable, on refusera le boulot, ça marche ?
Rachel : Enfin je...
Edie : Super. Là je te reconnais. Allons prendre un café.

Rene : J'ai besoin d'un espresso parsemé de Ritaline. Dis-le, encore une fois, s'il te plaît. Pas parce que j'ai pas entendu, mais juste pour la beauté des mots.
Ben : On n'a pas ton argent.
Cam : On vient te demander une rallonge jusqu'à demain. Et t'auras ton argent. On a reçu une grosse commande de t-shirts.
Rene : Je croyais que vous faisiez des jeans.
Cam : Crisp est une marque. Tu vois, on fait de tout. On a vendu 300 t-shirts au plus gros détaillant du Japon. On attend juste que l'imprimeur ait fini. Pas vrai ?
Ben : Ouais. 
Cam : Une fois livrés, tu auras tes 3 300 $.
Rene : Mais pas aujourd'hui.
Ben : Non.
Cam : C'est juste 24 h, cousin.
Rene : Tu fais parti de la famille. Je ne le dis pas souvent, mais je t'aime bien. Et toi, Ben...
Ben : Ouais ?
Rene : Je commence à t'aimer. Je vais vous filer un jour.
Cam : Vraiment ?
Rene : Non, pas vraiment. L'échéance c'est aujourd'hui, pas demain. Mais je passe une bonne semaine. Oh oui, une bonne semaine. Voilà ce que je vais faire. Je vais être généreux. Vous allez racheter votre échéance pour cette semaine
Ben : Racheter comment ?

Ben :  Merde.
Cam : Rasta Monsta ! Tu l'as baisée quatre fois ?
Ben : Ouais. Servez-vous.
Cam : Tu sais que t'es un animal ?
Ben : Je sais.
Cam : Je suis impressionné. Écoute. Ne l'épouse pas.
Ben : Quoi ? T'es fou ?
Cam : Je dis juste que... ça fait 4 fois et tu crois que c'est la bonne, tu fais une connerie.
Ben : Aucune chance.
Homme: Je peux ?
Cam : Allez-y. C'est gratuit.
Ben : Je l'aime bien.
Cam : Je vois ça.
Ben : Elle va à un mariage à Baltimore ce week-end. Je crois qu'elle a essayé de m'inviter.
Cam : Non. C'est trop tôt pour une virée.
Ben : Sûrement.
Cam : Ça va, mesdemoiselles ?
Femme 1 : C'est quoi en fait Rasta Monsta ?
Cam : Rasta Monsta est la meilleure boisson que les Caraïbes puissent offrir.
Femme 1 : Vraiment ?
Cam : Goûtez. Offert par la maison aujourd'hui.
Ben : Quoi de neuf, Henry ?
Femme 1 : C'est dégeulasse.
Cam : Quoi ?
Femme 1 :Je rigole. C'est super bon.
Ben : Non, je ne m'y attendais pas si vite. Oui, bien sûr.  Très bien. Merci. C'était l'imprimeur. Nos t-shirts sont prêts.
Cam : Tu plaisantes ? On y va. Je peux avoir ton numéro ?
Femme 1 : Tu vas un peu vite, non ?
Cam : C'est comme ça que je suis.
Femme 1 : D'accord.
Cam : On remballe.
Ben : On peut pas partir. Et si Rene passait ?
Cam : C'est l'échéance, on va voir Haraki, et on se fait payer. Et si on est payés, Rene est payé.

Cam : Merde, c'est Rene.
Ben : Merde.
Cam : Je vais le mettre sur répondeur.
Ben : Fais pas ça, s'il veut un truc, il va nous chercher sur Union Square. Décroche.
Cam : Hola, primo.
Rene : Alors cousin, comment ça se passe ? Attends une seconde. Como esta senora ? Oui, prenez-en autant que vous voulez pour les enfants. Prenez votre Rasta Monsta ! Ben et moi on déchire tout.
Rene : Sale petit menteur. Tu sais que tu n'es pas sur Union Square. Tu croyais que j'avais personne pour vous surveiller ?
Cam : Union Square ? Non, on a dit Washington Square.
Rene : Vraiment ? Tu sais quoi ? J'arrive, et tu as intérêt à être là.
Cam : Je t'entends plus. Mauvaise réception. Rene, je te rappelle.


Edie : Pensez à la version marocaine du film Diamant sur canapé. Dieu fait dans la dentelle. Le secret d'un hôtel qui marche est dans l'équilibre entre des espaces publics et privés. Choyez les gens à l'accueil, et ils feront l'impossible pour avoir une suite.
Homme : C'est "les dames au salon de beauté, les putes dans les chambres" ?
Edie : Précisément.
Darren : Merci, Edie. Donnez-nous une minute.
Edie : Bien sûr.
Rachel : Très bien.
Edie : Merci.
Rachel : Merci, messieurs.

Edie : Comment j'étais ?
Rachel : Excellente.
Edie : C'était pas facile avec toi qui faisais un regard qui tue à Darren.
Rachel : C'était pas un regard qui tue, c'était un regard de doute et de suspicion.
Edie : Rachel, regarde autour de toi. On pourrait défoncer grave cet endroit.
Darren : Écoutez, mesdames. À priori je ne vous ai pas laissé de temps pour vous préparer, c'est de ma faute. Mais vous avez cartonné. Ils vous ont adorées. Félicitations.
Edie : Tu te fous de nous ?
Darren : Non, pas du tout.
Edie : C'était la réponse que j'attendais.
Darren : À ton tour.
Rachel : Est-ce que je peux te parler ?
Darren : Je sens que j'ai des problèmes.
Edie : Rachel t'a dit qu'on facture au m² ?
Darren : Je suis au courant.
Edie : Je vais faire un tour de ce très très charmant hôtel, qui est énorme au passage.

Rachel : Qu'est-ce qu'il se passe ?
Darren : Avec ?
Rachel : Tout ça.
Darren : Tu n'es pas heureuse ?
Rachel : J'essaye de comprendre. Tu m'as demandé d'emménager avec toi...
Darren : Tu me dois encore une réponse au passage.
Rachel : Tu essayes de m'acheter ?
Darren : Je voulais que tu fasses cet hôtel bien avant ma demande.
Rachel : C'est vrai ? Parce qu'on n'est pasvraiment le type d'entreprise pour ça.
Darren : Oui, c'est vrai. Je crois en toi et en cette fofolle là-bas.
Rachel : Alors ce n'est pas personnel.
Darren : Je ne dirais pas ça. Je t'adore, Rachel. J'aime quand tu es avec moi.
Rachel : Et si je dis que... je ne suis pas prête à emménager avec toi ?
Darren : C'est ta réponse ? Je dirais que je suis du genre à ne pas prendre "non" comme réponse. Heureusement pour moi, on va travailler ensemble. J'aurais le temps de te faire changer d'avis. Je dois retourner voir ces messieurs, fais comme chez toi, d'accord ?

Rene : Qu'est-ce qu'il y a ? On dirait que vous attendez le principal.
Homme 1 :On fumait un joint.
Rene : Vous faisiez quoi ?
Homme 2 : On fumait un j... Et ton AP est entré.

Rene : Comment ça va ? Je pensais justement à toi. C'est marrant. Tout va bien ?
Homme : J'allais bien. J'avais une excellente journée, en fait. Jusqu'à ce que je vienne ici, et que je vois des ex-escrocsfumer de l'herbe et jouer à Halo, ce qui fait que tu violes deux conditions de libération.
Rene : Je ne savais pas que jouer à Halo était une violation de ma liberté.
Homme : Ne fais pas l'idiot avec moi.
Rene : Qu'est-ce que tu vas faire ? Tu vas me punir parce que mes potes fument ? Tu ne peux pas me faire ça.
Homme : Peut-être. Je peux car tu n'as pas la déclaration de ton employeur.
Rene : Mon employeur ? Regarde, j'ai ma propre entreprise.
AP : C'est quoi ?
Rene : Une entreprise de boissons. Rasta Monsta.
AP : Jamais entendu parlé.
Rene : Le Red Bull des Caraïbes.
AP : Où un gars comme toi a trouvé l'argent pour cette entreprise ? J'ai travaillé pour ça. Tu l'as volé.
Rene : Écoute, Larry. J'ai une réunion très importante dans quelques heures. Si tu veux me casser, fais-le maintenant, pour que je puisse être poli et annuler.
Larry : Cette réunion est en rapport avec ton entreprise ?
Rene : Complètement en rapport.
Larry : Bien. Alors, je viens avec toi.
Rene : Non, tu ne viens pas.
Larry : Si, je viens, Rene. Je ferais tout mon possible pour savoir si tu suis ta conditionnelle. Si je voulais te regarder te branler, je pourrais le faire aussi. Alors ? On va voir qui ?

Homme : Super camion, mec.
Cam : Cool, merci. Personne n'y touche. On revient tout de suite.

Henry : Voilà votre original. Ça... c'est le résultat. Je crois que ma base est trop transparente.
Ben : C'est magnifique.
Cam : Beau travail, Henry !

Rachel : Comment j'ai pu coucher avec lui ?
Edie : J'ai connu des centaines de mecs dans cette ville, et aucun n'a fait aussi bien que m'offrir la déco de l'hôtel le plus branché du Bowery.
Rachel : Il est tellement manipulateur.
Edie : Tu vois de la manipulation. Je vois l'amour.
Rachel : Tu m'avais dit que tu ne dirais rien si j'étais mal.
Edie : Je sais.
Rachel : Ouais.
Edie : Je n'ai pas dit que je n'essayerai pas de te faire changer d'avis.

Larry : Cacahuètes ?
Rene : Larry. Ça te va si je lui dis que tu es mon comptable ?
Larry : Tu peux rêver, taulard.
Rene : Alors, tu es d'accord ? M. Lardner ? Je vous croyais jamaïcain.
Lardner : Je suis né et j'ai grandi à Kingston. Vous êtes ?
Larry : Larry. Comment allez-vous ?
Rene : C'est mon agent de probation. Oui, j'aurais préféré que ce soit une blague, mais c'est vrai.
Lardner : Je vois.

Cam : "Frankie va à Harajuku." Quoi de neuf ? C'est Cam Calderon de Crisp. C'est bien de ça que je parle. Dis à Haraki qu'on est prêts à livrer.
Ben : On dirait que tu deales de la coke.
Cam : 22 h ce soir au Smith ? Ouais, on y sera. À tout à l'heure. On est lancé, mon grand !

Edie : Une autre tournée, ma belle.
Rachel : Je suis saoule.
Edie : Pas encore assez.
Rachel : Tu essayes de profiter de moi ?
Edie : Peut-être.
Rachel : Peu importe combien tu me fais boire je ne vais pas te laisser m'imposer l'esclavage.
Edie : Si tu ne veux pas que cet hôtel te rende ta vie plus belle ce que tu devrais... Au passage, s'il te plaît, ai pitié de moi. Je ne peux pas créer une nouvelle table Murphy ou mon cerveau va exploser. C'est l'opportunité dont j'ai toujours rêvé. Dont on a toujours rêvé. On est des bonnes décoratrices. On peut faire de cet hôtel une bombe.
Rachel : Je veux faire un hôtel, mais je veux le faire bien.
Edie : Il n'y a plus de bonne ou de mauvaise façon de réussir, chérie.
Rachel : Je sais que tu n'y crois pas.
Edie : Peut-être il y a quelque temps, mais j'ai divorcé. J'ai la trentaine. Je suis avalée par la plus grande ville du monde. Je m'accroche à un radeau en plein milieu d'un raz-de-marée. S'il te plaît, je t'en supplie, aide-moi. Si tu le fais, tu deviens associée. Officiellement.
Rachel : Et si je veux pas ?
Edie : Je considérais ça comme un acte de sabotage et de mépris envers notre amitié.
Rachel : Vraiment ?
Edie : On fait cet hôtel. Je ne te le demande pas, je te le dis. Ne fais pas tout foirer. Merci pour les verres.

Rene : Rasta Monsta est célèbre dans mon quartier, et je peux faire pareil sur le pays. J'ai accès aux quartiers comme Adam et Scott n'ont jamais pu en rêver.
Larry : Quel genre d'accès, Rene ?
Rene : Un accès autorisé par les associations hispaniques.
Lardner : Je dois avouer, Rene, qu'un agent de probation à une réunion, c'est une première.
Rene : Je sais que j'ai des soucis, je ne vais pas vous mentir. Mais c'est derrière moi. Je voulais être ce mec des quartiers qui inspire les gamins. Moi. Vous voyez ? J'ai toujours voulu être ce mec. Ça m'a juste pris du temps pour y arriver légalement.
Lardner : Vous doutez de lui ?
Larry : Pas vous ?
Lardner : Je vois son regard, et je crois que son séjour en prison l'a changé, comme il m'a changé.
Rene : Vous en avez fait aussi ?
Lardner : Nous en parlerons un autre jour. Pour l'instant, montons notre affaire.
Larry : Félicitations, Rene. Apparemment, tu vas monter une affaire légale avec un ancien taulard.
Rene : Tu vas me poursuivre ?
Larry : J'attendrais d'avoir du concret. Je te surveille, compadre.
Rene : Les gens comme lui, ne nous comprennent pas.

Ben : C'était une super journée.
Cam : Ouais. Tu te rappelles ce que je t'ai dit sur Julie ? De ne pas faire la virée ?
Ben : Ouais. Et alors ?
Cam : C'était pas sympa. Quand tu as cassé avec Rachel, on trainait toujours ensemble. Et cette fille arrive et boom ! T'es en couple.
Ben : T'es trop sensible.
Cam : La ferme.
Ben : Je vais pas me marier. C'est bon.
Cam : Tu sais quoi ?
Ben : Non.
Cam : Elle est super. Ne m'écoute pas, appelle-la et dis-lui que tu vas à Baltimore.
Ben : Tu crois ?
Cam : Ouais. Pioche dans le fric qu'on va se faire et pars. Va choper des morpions. Enfin, tu vois.
Ben : Je l'appelle.
Cam : Mais... Merde !
Ben : Putain...
Cam : Bande d'enculés ! Arrêtez ! Y a mes t-shirts dedans ! Attendez !
Ben : Revenez !
Cam : Arrêtez !
Ben : C'est notre camion !
Cam : Putain ! Merde !

Cam : On l'a fait une fois. On peut refaire les t-shirts.
Ben : On n'a pas le temps. On n'a pas d'argent. Je crois que l'univers essaie de nous dire un truc.
Cam : Comme quoi ?
Ben : Tu veux que je vienne le dire à Rene avec toi ?
Cam : Non, il te tuerait. Moi, il me frappera juste.
Ben : T'es sûr ?
Cam : Je gère. 
Ben : Je t'appelle plus tard.
Cam : Tu vas où ?

Ben : Tu pars quand à Baltimore ?
Julie : Demain, et... Je voulais t'en parler justement.
Ben : Tu veux de la compagnie ?
Julie : Tu es intéressé ?
Ben : Trop.
Julie : J'allais le demander, mais j'ai pensé que c'était peut-être trop tôt.
Ben : Pas du tout, en fait. Je peux te rappeler ?
Julie : Oui.
Ben : Merci.

Ben : Tout va bien ?

Rene : C'est de ça que je parle, bébé ! Je parlais à ce mec, putain. C'est de ça que je parle... Les mecs, regardez qui est là. Mon petit menteur de cousin.
Cam : Rene, je vais t'expliquer.
Rene : Expliquer quoi ? Comment t'as esquivé le boulot parce que tu profitais de mon camion Rasta Monsta pour te chasser la chatte ? Viens là. Plus près. Viens là. Viens là. Je vais te dire un truc. J'étais une merde quand j'avais ton âge. Je te pardonne. Merci, cousin. Tu sais pourquoi je suis sympa ? Car tu regardes le nouveau PDG nord-américain de... Rasta Monsta. P... D... G !
Collègue de Rene : Juste ici.
Cam : Sérieux ?
Rene :  Ouais.
Cam : Tu sais ce que ça veut dire ?
Collègue de Rene : Quoi ?
Cam : La prochaine fois qu'il trafique, il n'aura pas à se soucier des flics.
Rene : Amène une boisson au petit. C'est vrai.
Cam : À mon cousin !
Tous : À Rene !
Rene : Ouais, bébé. On y va.
Cam : Au fait, le camion a été volé aujourd'hui.

Ben : Merde. À quel point t'es bourrée ?
Rachel : Je suis super bourrée. Et je suis bourrée car ma vie est un désastre et c'est à cause de toi.
Ben : Il t'arrive quoi ?
Rachel : Ça te regarde pas.
Ben : Mais c'est ma faute.
Julie : Ouais, c'est ta faute.
Ben : J'accuse personne pour mes problèmes.
Rachel : Parce que quand ça te concerne, tu peux t'en prendre qu'à toi-même.
Ben : Putain.
Rachel : Parce qu'après tu peux te détester. Et tu sais quoi ? Je te déteste aussi là.
Ben : Super.
Rachel : Alors devine ?
Ben : Quoi ?
Rachel : On partage ça.
Ben : Je t'emmerde. Je veux pas entendre tes conneries.
Rachel : Je t'emmerde, car tu es minable. Je t'emmerde car t'as pas envie de changer.
Ben : Autre chose ?
Rachel : Aussi car tu m'as laissée partir.
Ben : Quoi ?
Rachel : Oui.
Ben : Je t'ai pas laissée partir. Tu m'as quitté.
Rachel : Tu m'y as forcée.
Ben : Non. Je voulais pas que tu partes.
Rachel : C'est juste que... je voulais plus que ça.
Ben : T'en voulais plus.
Rachel : Je voulais un peu plus... de toi. J'en voulais un peu plus... pour toi. Et maintenant j'ai plus rien. Tu comprends ça ?
Ben : Oui, je comprends.
Rachel : Tu me détestes maintenant ?
Ben : Je te déteste pas. D'accord ? Rentre avant d'être gelée.
Rachel : T'es si gentil.
Ben : J'essaie.

Générique de fin

Generique

Ben: Shit. I'm kinda in the middle of something.
Cam: I know. I'm sorry. Tell Julie I said I'm sorry too.
Ben: What's up?
Cam:  You remember those Dave Matthews tickets I was supposed to get to scalp for the Vig money?
Ben: Yeah.
Cam: I didn't get 'em.
Ben: Jesus.
Cam: It's not good right now, but I'm gonna go see Rene, tell him we don't got the $300. But I could use some Jewish muscle with me.
Ben: Okay. I'll see you in 30.
Cam: Cool.


Julie: You okay?
Ben: There's a meeting I forgot about.
Julie: T-shirts?
Ben: Something else. So what are you doing later?
Julie: Getting ready to leave tomorrow.
Ben:  Where you going?
Julie: Driving to Baltimore. My best friend's getting married there Sunday. She rented out this ballroom at some historic hotel. Apparently we're going to party like it's 1899.
Ben: B-more. That's a long drive.
Julie: It is to do alone.


Jabar: The beverage dudes.
Rene: What's good, fellas?
Man: So our legal team reviewed the terms and it looks like you're gonna get your buyout.
Rene: Excellent excellent. Listen. So when you want your money?
Man: As soon as we get the go-ahead from John Lardner.
Rene: Who's that?
Man: He's the owner of LF Beverages, Rene. It's the company that actually owns Rasta Monsta. He needs to approve you as a licensee. He flew in from Jamaica to meet you.
Rene: I'm not talking to nobody. You guys talk to him, make it happen, okay?
Man: This is standard practice, buddy. We're not trying to hustle you. We're not gangsters. We're not thugs.
Man: We're jews.
Man: We want this deal to happen, Rene.
Man: But it's John Lardner's decision in the end.
Rene: Where he want to meet me, man?
Man: The oak room at the plaza at 7:00 pm.
Rene: And then after that it's all good?
Man: If it goes well.
Man: Good luck, Rene.
Jabar: You're okay, boss?
Rene: Bro, ain't I always okay? I'm okay.


Rene: Look who it is.
Jabar: Damn.
Rene: Sixto.
Tito: Yo. Como esta papa?
Man: Man, good to be back. Good to be seen, bro.
Rene: Good morning, sweethearts. How are you?
Ben: Hey, Rene.
Rene: Good.
Cam: What's up, coz?
Rene: Good, man. Cam, come here. Come here. A little kindness.
Cam: What?
Rene: Hold the door.


Edie: Literally 45,000 ideas. Of course we can do that. We are pros. Absolutely. So we'll see you later. Thanks, Darren.
Rachel: Was that...
Edie: I don't know how you did it...
Rachel: Wait. What... what did I do?
Edie: Your boyfriend just called to offer us his hotel... To design.
Rachel: Are you kidding me?
Edie: It's not a done deal yet but he wants us to meet with the investors and he says he's gonna jam it through. God, that's so phallic. I love him. We can put together a pitch in an hour?
Rachel: Wait. This is crazy.
Edie: I know. We're going to design a fucking hotel, Rachel!
Rachel: You don't understand. Darren asked me to move in with him.
Edie: What did you say?
Rachel: I... didn't respond. I've been kind of avoiding him ever since.
Edie: Just say yes, you wacko. He's obviously crazy about you.
Rachel: I think it's weird. I mean, why is he doing this? Why is he asking us?
Edie: Because we're brilliant designers, that is why.
Rachel: I... don't know if that's it.
Edie: Look. Let's just give it a shot. If the situation is at all uncomfortable, we don't have to take the job, okay?
Rachel: I mean, I...
Edie: Great. That's my girl. Let's go down to the cafe. I need an espresso rimmed with Ritalin.


Rene: Say it... say it one more time, please. Not because I didn't hear it, but I just want to savor the words.
Cam: We don't have your money. We're just asking you to let it slide till tomorrow. Then you'll get your cash back. We got a big t-shirt order.
Rene: I thought you were making jeans.
Cam: Crisp is a brand. You see. Rene, we make everything. We sold 300 t-shirts to the biggest retailer in Japan. We're just waiting for the silkscreener to finish 'em. Right? Then we'll deliver 'em and you'll get your $3300.
Rene: But not today.
Cam: No. It's 24 hours, coz.
Rene: You're family, Cam, okay? And I don't say this often, but I do love you. And you, Ben...
Ben: Yeah? I'm starting to love. I'm gonna float you the day.
Cam: Really?
Rene: No, not really. Today is big day, not tomorrow. But I'm having a good week. I'm having a good week. So this is what I'm gonna do. I'm gonna be generous. I'm gonna let you two boys work off this week's vig.
Ben: Work off how?

Ben: Fuck.
Cam: Rasta Monsta! Four fucking times?
Ben: Take it.
Cam: You know you an animal?
Ben: I know.
Cam: I'm impressed. But listen. Don't marry her.
Ben: What? Are you insane?
Cam: I'm just saying four times, you get that crazy reaction, you think she's the one, do something stupid.
Ben: There's no shot. 
Cam:Go ahead. It's free. Great.
Ben: I do like her though.
Cam: I can tell.
Ben: She's driving to this wedding in Baltimore this weekend. I think she was trying to invite me.
Cam: No, man. It's too soon for a road trip.
Ben: Yeah. Probably.
Cam: Yeah. What's up, ladies?
Lady: So what exactly is a Rasta Monsta?
Cam: Rasta Monsta happens to be the finest beverage the Caribbean has to offer.
Lady: Really?
Cam: Try some. On the house today and only today.
Ben: What's up Henry?
Lady: This tastes like shit.
Cam: What?
Lady: I'm just kidding. It's great.
Ben: No, I just didn't expect 'em that quick. Yeah, sure. All right. Cool, man. That was the silkscreeners. Our shirts are ready.
Cam: Are you serious? Let's go. What's up? Can I get your number?
Lady: You move little quickly, you think?
Cam: I'm saying that's how I do.
Lady: All right.
Cam: Pack up.
Ben: We can't just leave. What if Rene comes by?
Cam: Vig day lasts all day, so if we go to Haraki, we get paid. And if we get paid, Rene gets paid. Come on.


Cam: Fuck. It's Rene.
Ben: Shit.
Cam: I'm just gonna let it go to voicemail.
Ben: No, don't, 'cause if he wants something, he's gonna look for us in Union Square. Pick it up.
Cam: Hola, primo.
Rene: Yo, little cousin. How's it going?
Cam: Hold on for a sec. Yeah, take as many as you want for the kids. Get your Rasta Monsta! Yo, coz, me and Ben are killing it right now.
Rene: Yeah. You little, lying motherfucker. You know you ain't in union square. You didn't think I'm gonna have people checking up on you?
Cam: Union square? No, we said Washington square. Really? Okay, guess what. 
Rene: I'm on my way and your ass better be there.
Cam: I can't hear you. Bad reception. Yo, Rene, I'll call you right back.


Edie: Think Moroccan "breakfast at tiffany's." God is in the details. The secret to a successful hotel is in the interchange between public and private spaces. Make people behave like adults on the ground floor, and you'll have them tripping over each other to book a suite.
Man: So it's "ladies in the parlor, whores in the bedroom"?
Edie: Precisely.
Darren: Thanks, Edie. Just give us a minute.
Rachel: Of course.
Edie: Course.
Darren: Thank you.
Edie: Thank you, gentlemen.


Edie: How'd I do?
Rachel: Excellent.
Edie: It wasn't easy with you giving Darren the death stare the entire time.
Rachel: I wasn't giving death stares. I was giving a stare of doubt and suspicion.
Edie: Look, Rachel. Look around you. We could fuck the shit out of this place.

Darren: Look, ladies. Obviously, I didn't give you enough time to prepare for this and that's my fault. But you rocked it despite that. They love you two. Congratulations.
Edie: Are you shitting us?
Darren: No, I'm not shitting you.
Edie: That is just the response I was looking for.
Darren: Your turn.
Rachel: Can I just talk to you for a second?
Darren: Why do I feel like I'm in trouble?
Edie: Did Rachel tell you that we charge by the square foot?
Darren: I am aware.
Edie: I am going to go take a tour of this gorgeous gorgeous hotel, which is huge by the way.

Rachel: What's going on?
Darren: With?
Rachel: All this.
Darren: Are you not happy ?
Rachel: I'm trying to understand. It's like you asked me to move in with you...
Darren: Which you still owe me an answer on, by the way.
Rachel: Are you trying to buy me?
Darren: I wanted you to have this hotel long before I asked you to move in with me.
Rachel: Is that true? Because we're not the go-to firm for this kind of thing.
Darren: It is. I believe in you and that crazy lady over there.
Rachel: So this is not personal.
Darren: I wouldn't say that. I like you, Rachel. I like having you around.
Rachel: What if I said that I'm not ready to move in?
Darren: Well... Is that your answer? Well, I'd say that I'm a guy who doesn't like to take no for an answer. Lucky for me we'll be working together, so... I'll have plenty of time to change your mind.'ve gotta go back to these guys, look around, make yourself at home. All right?

Rene: What the fuck, man? You guys look like you're waiting for the principal.
Man: We were smoking a joint.
Rene: What?
Man: We were smoking a j... And your PO walked in, bro.

Rene: How you doing? I was just thinking about you. It's amazing. Everything cool with you?
Larry: I was fine, Rene. I was having a very nice day, in fact, until I came to visit my newest parole and found a couple of ex-cons smoking pot and playing Halo, which puts you in direct violation of two parole stipulations.
Rene: I didn't realize playing Halo was a stipulation on my record.
Larry: Don't get cute with me.
Rene: Come on. What are you gonna do? You gonna violate me 'cause my buddies are potheads? You can't do that to me.
Larry: Maybe. Or I could just violate you because you've yet to show me a W-2.
Rene: W-2? Look around you, man. I'm running my own business here.
Larry: What is all this?
Rene: A beverage company. Rasta Monsta.
Larry: Never heard of it.
Rene: The Red Bull of the Caribbean.
Larry: Where's a guy like you get the money for a beverage company?
Rene: I worked for it.
Larry: You mean you stole for it.
Rene: Look, Larry. I've got a real important meeting in a couple of hours, okay? If you're gonna bust me, do it now so I can be polite and cancel.
Larry: This meeting has something to do with your company?
Rene: It has everything to do with the company.
Larry: Fine. Then I'm coming with you.
Rene: Hell no, you're not.
Larry: Hell yes, I am, Rene. I can and will do whatever it takes to determine you're not in violation of your parole. Hell, if I wanted to watch you get your dick wet I could do that too. So... Who are we meeting with?

Man: Sick fucking truck.
Ben: Cool, thanks.
Cam: Don't nobody touch that. We're coming right back.

Henry: This is your original. This is what I came up with. I think I used too much transparent base.
Ben: It's beautiful! 
Cam: Nicely done, Henry!

Rachel: I can't believe I slept with the guy.
Edie: I have dated hundreds of men in this city, and not one of them has offered me a pot to piss in, much less the hottest hotel in the Bowery to design.
Rachel: He's so fucking manipulative. I...
Edie: You see manipulation. I see romance.
Rachel: You said if I wasn't comfortable, we wouldn't do it.
Edie: I know I did...
Rachel: Yeah.
Edie: But I didn't say I wouldn't try to change your mind.

Larry: Nuts?
Rene: Larry? Is it okay if I introduce you as my accountant?
Larry: Try fucking yourself, convict.
Rene: Does that mean you'll consider it? Mr. Lardner? I was expecting you to be Jamaican.
Lardner: I was born and raised in Kingston. You are?
Rene: Larry.
Larry: How you doing?
Rene: He's my parole officer. Yeah, I wish it was a joke, John, but it's not.
Lardner: I see.

Cam: Yo, "Frankie goes to Harajuku." What's good, playa?
Man:  Who is this?
Cam: It's Cam Calderon from Crisp. That's the kind of love I'm talking about. Tell Haraki the kids are ready to make delivery.
Ben: You make it sound like a coke deal.
Cam: 10:00 tonight at the Smith? Yeah yeah, we'll be there. I'll see you there. We're in business, son!

Edie: Another round over here, sweetie.
Rachel: Edie, I'm wasted.
Edie: Not wasted enough.
Rachel: What, are you trying to take advantage of me now?
Edie: Maybe.
Rachel: No matter how wasted you get me, I'm still not gonna want you to sell me into white slavery.
Edie: If you don't want to do this hotel to make your life better... Which you should, by the way... Please, do it to have some mercy on mine. I cannot design another Murphy dining room table or I will surely blow my fucking brains out. This is the break I've always dreamed of... We've always dreamed of. And we're great designers. We could kill that hotel.
Rachel: I want to do a hotel, but I want to do it the right way.
Edie: There is no right or wrong way to succeed anymore, honeybun.
Rachel: I know you don't believe that.
Edie: Maybe a long time ago I didn't, but now I'm divorced. I'm in my 30s. I'm being swallowed up by the biggest city on earth. I am clinging to a life raft in the middle of a tidal wave. Please, I beg of you, throw me a line. If you do this, I'll make you partner. Official.
Rachel: What if I don't?
Edie: I'll consider it an act of self-sabotage and total disregard for our friendship.
Rachel: Really?
Edie: We are doing this hotel. I'm not asking you, I'm telling you: do not fuck this up for us. Thanks for the drinks.


Rene: I made Rasta Monsta big in my hood, and I can make it big across the country. I have access to neighborhoods in a way that Adam and Scott could never even dream of.
Larry: What kind of access, Rene?
Rene: Legitimate access through latin organizations.
Lardner: I have to tell you, Rene, a parole officer at a meeting... That's a first for me.
Rene: I know I had my trouble... I'm not gonna lie to you, John... But that's behind me now. You see, I wanted to be that guy from the hood that kids looked up to. Me. You know? I always wanted to be that guy. It just took me a little while to figure out how to do it legally.
Lardner: You doubt him, sir?
Larry: You don't?
Lardner: I look into his eyes and I believe his time in jail may have changed him the same way it changed me.
Rene: You did time too?
Lardner: That's a conversation for another day. For now, let's build our business.
Larry: Congratu-fucking-lations, Rene. It seems you're running a legitimate business with another ex-con.
Rene: Are you gonna violate me now or what?
Larry: I'm gonna wait for something to stick. I'm watching you, compadre.
Rene: Guys like that don't understand guys like us.

Ben: Today was a great day.
Cam: Yeah. You know what? Remember what I said earlier about Julie? About not going on the road trip?
Ben: Yeah. What about it?
Cam: I was kinda being a hater. Since you broke up with Rachel, I've been kinda used to having you around. And then comes this new girl and boom. You're all wifed up again.
Ben: You're so sensitive.
Cam: Shut up, man.
Ben: I'm not gonna get wifed up. Please.
Cam: You know what?
Ben: What?
Cam: This girl is dope, don't listen to me. Call her now and tell her you'll go to Baltimore.
Ben: You think?
Cam: Yeah. Take some of this hard-earned cash we're about to make and get out. Go get some crabs. You know what I mean.
Ben: I'll call.
Cam: What the... Shit!
Ben: What the...
Cam: No, motherfuckers! Stop! My t-shirts are in there! Stop!
Ben: Come back!
Man: Hold up!
Cam: Hey! Come back!
Ben: No! Stop! Hey, that's our van!
Cam: Damn! Fuck! Fuck! Fuck! Fuck!

Cam: We did it once. We can make the shirts again. You know what I'm saying?
Ben: There's no time. We've got no money. I think the universe is trying to tell us something.
Cam: Like what?
Ben: You want me to go with you to tell Rene?
Cam: No, he'll kill you. Me he'll just beat.
Ben: Are you sure?
Cam: I got this.
Ben: I'll call you later.
Cam: Where are you going?

Ben: When are you leaving for Baltimore?
Julie: Tomorrow, and... that's what I wanted to talk to you about.
Ben: You want some company?
Julie: Are you interested?
Ben: Definitely.
Julie: I was gonna ask you, then I thought it was a little too soon to do that.
Ben: Not at all, actually. Can I call you back in a few?
Julie: Sure.
Ben: Thanks.

Ben: Everything okay?

Rene: That's what I'm talking about, baby! I was fucking talking to that guy. That's what I'm talking a... Guys, guys, look who's here. My little lying cousin, man.
Cam: Rene, let me explain.
Rene: Explain what, bro? How you played hooky from the job today 'cause you're cruising around in my Rasta Monsta machine chasing pussy? No doubt. Come here, man. Come closer. Come here. Come here. I wanna tell you something. I was a fuck up when I was your age. And I forgive you. Thank you, coz. You know why I'm being nice? Because you are looking at the new north American Rasta Monsta C... E... O! Right here.
Cam: You serious?
Rene: Yeah.
Cam: Wait. You know what this means?
Rene: What?
Cam: Next time he's moving weight, he don't have to worry about the feds!
Rene: Get the little man a drink, bro. Hook him up. That's right.
Cam: Yeah, to my cousin!
Everybody: To Rene!
Rene: Yeah, baby. Here we go.
Cam: By the way, the truck got stolen today.

Ben: Jesus. How drunk are you?
Rachel: I... I'm very drunk. And I'm drunk because my life is a fucking mess, and it's all because of you.
Ben: What happened?
Rachel: None of your business.
Ben: Yeah, okay, but it's my fault.
Rachel: Yeah, it is your fault.
Ben: I don't blame anybody else for my problems. All right?
Rachel: Because when it's about you, you want to blame yourself...
Ben: Jesus.
Rachel: Because then you get to hate yourself. And you know what, man? I hate you too now.
Ben: Great.
Rachel: So guess what?
Ben: What?
Rachel: We've got that in common.
Ben: Fuck you. I don't wanna hear this shit right now.
Rachel: Fuck you, all right, for being miserable. Fuck you for being unwilling to change.
Ben:  Anything else?
Rachel: Yeah, fuck you for letting me go.
Ben: What?
Rachel: Yeah.
Ben: I didn't let you go, Rachel. You just left me.
Rachel: No, you made me.
Ben: No, I didn't. I didn't want you to go.
Rachel: I just... I just wanted more.
Ben: You wanted more.
Rachel: I just wanted a little more... From you. I wanted a little more... for you. And now I have nothing. Can you understand that?
Ben: I do.
Rachel: Do you hate me now?
Ben: I don't hate you. All right? Come inside before you freeze.
Rachel: You're such a sweet guy.
Ben: I try.

Generique de fin

Kikavu ?

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